Alors que le narrateur prenait un bain pour enlevé l’odeur infecte des constructions de manyatta à la bouse, Bullit surgit, et peu après des rangers accompagnés de wakamba armés. Le propriétaire raccompagna le personnage principal jusqu’à chez lui. Non loin de là, dans une réserve naturelle kenyane, un voyageur s'enfonce dans la nature sauvage. Peut-on tuer unanimal intelligent pour sauver un homme qui l’a attaqué sans besoin vital ?La réponse devient plus difficile. Dans ce livre on voit le point de vue de l’auteur sur Les hommes beaux et fort, les femmes, superficielle ou peureuse, et l’enfant innocent et bien plus dégourdit qu’un adulte (comme tout enfant qu’on laisse s’ennuyer, il trouve de quoi faire seul et évolue). L’auteur assista à une scène entre le père et sa fille, il entra dans un hangar, et fit semblant d’être surpris et effrayé par les enfants du village qui lui sautèrent dessus, les villageois les encerclés et souriait, puis la petite Patricia arriva et chassa les enfants noir, puis monta sur l’épaule de son père et acclama “ce géant est à moi et à moi seul, je fais de lui ce que je veux”. Le propriétaire du parc lui demanda pourquoi il n’avait pas dit à sa femme qu’il avait vu Patricia près du grand abreuvoir, et l’auteur lui répondit qu’il sentait qu’il ne devait pas le dire, que c’était un secret entre les deux. La petite jouait avec lui, comme un enfant jouerait avec un chien, mais la taille colossal de l’animal avait de quoi effrayé l’homme qui avait peur pour elle. Sa mère, Sybil, apprend au narrateur que Patricia est l'amie d'un lion, nommé King, qu'elle a recueilli lionceau et a soigné. Sybil sorti son album du pensionnat où elle avait rencontré Lise Darbois, Patricia en était ravi (l’auteur ne su si c’était un réel enthousiasme de sa part, ou un faux semblant pour s’intéresser à l’amie de sa mère), elle lui promis qu’elle s’habillerait aussi bien que son amie plus tard, et qu’elle serait aussi savante qu’elle (sa mère). Le lion prend rapidement le dessus, met le jeune homme à terre et blessele jeune Masaï à mort. Ce faisant, il surprend un des fameux rendez-vous deKing et Patricia. En route Patricia voulu s’arrêter avec lui pour faire croire aux Massaï qu’elle ne serait pas présente. Avantmême de le rencontrer, il s’avère que la petite fille savait tout de cet homme.En effet, elle s’était renseignée auprès de guides, chauffeurs, boys, dont elleconnaît toutes les langues, telles que le kikouyou ou le masaï. Le propriétaire lui expliqua pourquoi il avait du laisser le king près d’un arbre loin de leur hutte, Sybil ne supportait plus de le voir, ses crocs, ses roulades avec Patricia, les pattes sur les épaules de son mari, elle en avait peur, de plus en plus, elle lui lança un ultimatum, c’était lui ou elle. Alerté par cette déclaration,Oriounga se met à l’affût. Elle demanda à l’auteur de l’amener en pension à Nairobi pour ne plus jamais revoir son père. Tout au long de l’entretien avec elle, le narrateur ne cesse de se demander pourquoi elle porte des lunettes qui lui cachent le visage. Bogo : Le serviteur du narrateur, très dévoué à son maître. La situation de Patricia dérange en revanche beaucoupMme Bullit, qui craint notamment la puissance du lion. Toutes ses peurs pour sa famille, n’avaient fait que croître et aujourd’hui elle n’en pouvait plus, elle s’inquiétait lorsque sa fille rentrait la nuit. Elle a perdu son âmesauvage. Elle repartit avec les enfants pour jouer ensemble. Il est satisfait de cette visite de près. Tout en parlant, le personnage principal ne se rendit pas compte qu’il avait suivit le propriétaire jusqu’au village des nègres. Le matin du premier jour, il est réveillé par un petit singe et un bébé gazelle et lorsqu’il sort se promener, il découvre sous les rayons du soleil naissant, le spectacle merveilleux des animaux se désaltérant dans un marécage. Alors qu’il retournait chez lui, John vint vers lui et lui demanda s’il était le matin même, près du grand abreuvoir. La petite fille prépara ses affaires et parti avant la nuit, elle ne souhaitait plus jamais revoir ni son père, ni le parc. Elle lui expliqua le chemin du retour, et l’homme déboussolé disparut. Le Lion de Joseph Kessel est un hommage aux Parc nationaux du Kenya. La nuit commence à tomber. Elle les mena à King, c’était l’heure du repas, et kihoro chassa un buffle et l’entraina vers le lion, qui se jeta sur lui. Bogo leur dit Kouahéri, mais ils ne répondirent pas, pire, ils leur lancèrent un regard de mépris, l’écrivain leur dit alors Kouahéri, et le vieillard lui répondit, aucun homme ne valait un Massaï à leur yeux, mais ils furent poli à son égard. Elle n’était cependant jamais seule, Kihoro veillait sur elle, sans qu’elle ne le sache, il était mutilé, boitait, n’avait qu’un oeil, mais il était très bon tireur en cas de danger et rapide. La mère ne cesse de regarder par la fenêtre l’arrivé de la petite, l’auteur même s’il n’en a pas parlé, souhaiterais aussi la revoir. Consultez la liste des tâches à accomplir en page de discussion. L’auteur lui demanda pourquoi elle ne souhaitait pas que sa mère puisse l’accompagner, elle répondit qu’elle était heureuse qu’elle parte, elle était malheureuse de la voir triste, mais heureuse de voir qu’elle évoluerait comme toutes les petites filles de son âge. « Le lion » de Joseph Kessel a 60 ans en 2018, et il n’a pas pris une ride ! Peut-on tuer un animal pour sauver unhomme ? Elle refuse que sa mère, qui se trouve être soulagée dela mort de King, l’accompagne. Arriva alors deux lionnes et lionceaux, qui vinrent chercher leur compagnon, le king avait deux compagnes, qui semblaient être jalouse, le lion partit les rejoindre. Témoin de ce drame familial, le narrateur est présenté à King et devient le témoin privilégié du lien singulier qui unit Patricia et le fauve... Une tribu Maasaï s'installe dans la réserve. L’auteur rentre chez lui, et veut se retrouver seul, mais Bogo le presse pour préparer ses affaire pour le lendemain. Patricia : La fille de l'administrateur du parc et de Sybil. Elle est racontée par un narrateur dont on ne connaît pas le nom, en visite dans la réserve. Oriounga de son côté ne survivra pas àses blessures. Elle comprit qu’il s’inquiétait pour elle, mais ne comprenait pas pourquoi il avait peur. L’auteur avait une autre vision de ce spectacle, “l’excellence naturelle des races blanches et l’infériorités des peuples-enfants qui n’aiment que la force”, il ne partageait pas ce point de vue, mais parler à John de cela ne servait à rien car il ne l’écouterait pas. Sybil et son amie étaient restée cinq ans dans un pensionnat près de Lausanne, pendant la guerre. Il remit ses lettres à Bogo son chauffeur qui revint plus tard lui donner une lettre de la dame, rédigeait en français, Sybil bullit lui demandait de venir rapidement. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans le même temps, le père de Patricia arrive sur le lieu du drame et tue King, car son devoir est de protéger les hommes contre les animaux sauvages. Le voyageur pris congé, laissant Sybil s’affairé à sa lettre et son organisation pour le thé du soir. Le vieil Olkalou était mort, et les Massaï avaient choisi un autre chef pour la tribu, en cette occasion ils invitaient la famille Bullit et le voyageur à venir. Personne au monde n’était aussi riche qu’eux, justement parce qu’ils ne possédaient rien et ne désiraient pas davantage. On continu avec les livres que ma fille doit lire en cinquième. Sybil devint hystérique au moment où les moranes s’approchèrent de leur femme, des petites de dix ans, Oriounga s’approcha d’eux et leur demanda la main de Patricia, Bullit répondit quand il sera un homme, Oriounga s’énerva et jeta la crinière de lion qu’il avait sur lui. Plus tard, Patricia vint le voir, et le voyageur lui expliqua qu’il allait bientôt partir, et lui demanda si elle souhaitait l’accompagner, elle lui demanda combien de temps, et il lui répondit “le temps de te faire des amis de ton âge, d’aller au théâtre, … ” elle lui dit qu’il parlait comme sa mère et comprit qu’il avait parlé avec elle. Cet événement en soi ne serait pas sigrave si Oriounga, un jeune homme de la tribu, ne s’était entiché de Patriciaau point de vouloir l’épouser. Après cette aventure, la petite sort et va voir les animaux, elle leur parle, Bullit explique à l’auteur qu’elle parle aux animaux, qu’elle a un don, elle leur parle en wakamba et autre langue de tribut, qu’elle est la seule à avoir ce don et le voyageur est témoin de cela. Son mari partait le matin avant qu’elle se réveille et rentrais jamais à heure fixe, cela dépendait des bêtes. Il observe les animaux, avance et détaille ce qu’il voit avec précision, jusqu’à sa rencontre avec la fille de l’administrateur du Parc royal, Patricia. Le personnage principal savait que c’était des Masaï, il avait rencontré beaucoup de tribu lors de son long voyage, Jalluo, Embu, Wakamba, … mais les Masaï avaient des allures princières, leur habit portait sur l’épaule, drapait à moitié leur corps, ils n’avaient besoin de rien ni de personne, et se contentaient de peu. Il ne dormit pas cette nuit là, et attendit mais personne ne vint. Pour faire le tour de la réserve, il fallait être accompagné d’un ranger, ce dernier vint armé et pris place dans la voiture. Bogo le chauffeur demanda au narrateur s’il pouvait ne pas l’amener à la fête, et qu’il y aille avec la famille, car il n’aimait pas les fêtes des Massaï, ils étaient en transe et agressif. La maitresse de maison était arrivée au Kenya car son père avait été nommé à un poste important, et qu’elle avait convaincu Lise Darbois de l’accompagner, à peine arrivée elle fit la connaissance de Bullit et se marièrent rapidement. L’invité lui expliqua que son chauffeur Bogo, avait pris l’habitude de dormir dans la voiture car lors du voyage, les hôtels refusaient de loger les noirs, sauf dans les chenils, que c’était un homme simple et digne. Le pèrede Patricia arrive alors et déclare que son devoir est, certes, de protéger lesanimaux, mais pas au point de mettre en danger les hommes. Lorsque Sybil revint, elle fut peiné que Patricia ne souhaitait pas se joindre à eux pour la présenter au narrateur. La petite fille lui explique pourquoi il n’a pas le droit d’aller voir les bêtes de plus près, qu’il doit rester caché, c’est pour ne pas les déranger, elles sont libres. Lorsque l’écrivain leur parle de la rencontre avec les Massaï, Sybil devient hystérique, elle ne veut pas en entendre parler, elle s’exclame “que vais je devenir, c’est déjà un enfer”,son comportement rend nerveux son mari, qu’elle calme lorsqu’elle voit qu’il stresse et lui dit que ce n’est pas sa faute, qu’elle savait qu’il n’y avait pas d’autre vie possible pour lui. Le voyageur ne bougea pas de la forêt où Patricia lui avait dit de rester. Il l’a retrouva à l’abreuvoir, l’endroit où il l’avait vu la première fois. Résumé chapitre par chapitre ‘Le lion” de kessel, Résumé chapitre par chapitre 'Le lion" de kessel. Au moment d’aller se coucher, l’auteur vit sur son lit, Patricia qui l’attendait et lui disait de se réveiller tôt demain, car ils iraient voir les Massaï installer leur manyatta. Sybil parla de souvenir de sa vie et de celle de son amie, qu’elle avait été sa demoiselle d’honneur à son mariage qui avait eut lieu au Kenya, à la chapelle blanche entre Nairobi et Naïvâsha. Patricia demanda à l’auteur de la ramener chez elle pour que sa mère ne se fâche pas. La fête avait commencé, les Massaï étaient en transe, ils défilaients. En effet, leur fille a été élevée aux côtés d’unlionceau, appelé King, dont la mère a été tuée par un guerrier masaï.Puisqu’ils ont grandi ensemble, une très grande amitié existe entre la filletteet King et ils se comportent comme des semblables. Une amitié naissait entre Le propriétaire du parc et le voyageur. Lorsque le narrateur rentra à la hutte, Sybil vint pour lui parler. La dernière modification de cette page a été faite le 20 octobre 2020 à 15:00. Cependant, les détails peuvent être un atout, si on souhaite faire d’un livre un film, le décor et l’image est plantée. Il vit deux hommes Masaï arrivaient. La petite fille avait un plaisir dans son regard, et le voyageur lui demanda si cela ne la dérangeait pas que le lion tue le buffle vu qu’elle aimait les animaux, mais elle lui répondit que c’était normal, les lions mangent les animaux. Bullit les accompagna au campement pour régler cette histoire. Un troupeau d’éléphant ou de rhinocéros, il roule autour en réduisant de plus en plus le cercle, les éléphants s’énervent, les rhinocéros foncent sur la voiture, mais il maitrise tellement bien la voiture qu’il l’échappe de peu. Le narrateur et ses amis assistent à la cérémonie funèbred’un ancien qui s’est fait griffer par un lion, et dont la blessure s’estinfectée. Le narrateur est fasciné par les immenses paysages de l’Afrique orientale. Le soir arrivait, l’auteur se rendit au repas avec appréhension vu le repas catastrophique de la veille, mais il n’en fut rien. Tous les habitants du coin communiquent et racontent tout à la petite, qui savait que le narrateur ne resterait pas, qu’il transportait des livres, et qu’il n’était pas chasseur, elle avait parlé avec son chauffeur Bogo, le clerc, le boy des bagages, le boy de la hutte. L’auteur eut du mal à croire que c’était le même lion qu’il avait vu le matin même. Bullit fonce avec les gazelles et autres animaux sauvages, la petite fille explique que son père est amis avec les animaux et donc ils jouent avec la voiture. Le narrateur raconte l’histoire. Je termine à l'instant la lecture de mon deuxième Kessel.Autant Une balle perdue ne m'a pas emballée des masses que le lion m'a complètement envoûtée. Elle alla voir les animaux un peu plus près, et Oriounga surgit à ses côtés, il souhaitait savoir si elle était la fille du lion, ou un sorcière, et s’il voulait l’épouser. Bullit toujours au volant de la voiture, alla vers un triangle épineux où arriva King, il fit rouler la voiture rapidement pour que le lion puisse courir aussi vite, la petite fille était ravi. Il s’inquiétait pour Patricia, c’est la raison pour laquelle elle voulait qu’elle parte, en Europe ou à Nairobi, mais qu’elle s’éloigne. Kihoro : Un guerrier mutilé qui, à la demande de John Bullit, veille sur la sécurité de Patricia, à son insu, lorsqu'elle erre dans la brousse. Sybill en profita pour dire au voyageur qu’elle souhaitait lui parler en privé quand il aurait du temps elle viendrait le voir à sa hutte. Bouleversée, Patricia décide sur-le-champ de quitter la réserve en compagnie du narrateur et d'entrer dans un pensionnat à Nairobi. La petite s’excusa poliment et s’expliqua sur son retard, King voulait la ramener. La maitresse de maison lui fit remarquer que c’était il y a deux ans, et que la petite avait grandi. Il lui demanda s’il ne pouvait pas prolonger son séjour, le voyageur ne répondit pas. La vie aventureuse de Joseph Kessel l'a conduit aux quatre coins du monde et ses voyages ont souvent inspiré son œuvre littéraire. L’auteur demanda à Patricia d’aller le voir pour l’écouter, il semblait vouloir dire quelque chose, elle y alla, mais il répétait sans cesse “le lion”. Le propriétaire critiquait les touristes, ceux qui viennent et qui râlent de ne pas avoir de frigo dans les huttes, du vol de bijoux par un singe, ceux qui mettent leur lit dehors, … mais que s’ils désobéissent aux règlements et se font attaquer par une bête, les rangers devront la tuer. Arriva alors Patricia habillé d’une salopette et la famille l’invitait le soir même à manger, mais Patricia voulait savoir la vrai raison qu’il avait de rester, c’était le King, le lion. Il lui demanda où ils étaient, la petite lui promis de l’amener les voir, mais l’homme partait le lendemain, et cela rendit si triste l’enfant qu’elle reparti sur son tronc. Les Massaï lui demandèrent ce qu’il faisait ici, il répondit qu’il venait pour les animaux, ils ne comprirent pas car la chasse ici était interdite. Patricia mena le voyageur à l’endroit où se trouvaient les Massaï. Description du résumé sur Le Lion ( Joseph Kessel) Ce document propose un résumé gratuit clair et détaillé du Lion de Joseph Kessel dont voici un extrait : « L'aube se lève sur le Kilimandjaro. Elle peut par exemplele faire attaquer, ou au contraire en attrapant sa crinière le retenir. La hutte était décorée avec goût et le narrateur en fit la remarque, son hôte lui expliqua qu’elle essayait de rendre la maison accueillante pour faire oublier la dangerosité de l’extérieur et l’isolement. Chaque corps de métier était habillé selon le niveau social: L’auteur qui était revenu dans sa hutte, s’était installé sur sa véranda, près d’une lampe à tempête que les serviteurs avaient laissé. Oriounga veut épouser Patricia malgré son jeune âge, mais il n'a pas encore accompli le rite ancestral du passage à l'âge adulte qui prescrivait aux moranes de tuer un lion (bien que cela soit depuis formellement interdit dans la réserve). Le narrateur reparti à sa hutte, le petit singe qu’il avait vu le matin même sauta sur son épaule. King se comporte presquecomme le chien de Patricia, il obéit à tous ses ordres. Au moment de l’aurevoir, Orlounga leva le bras, ce qui fit tomber l’habit de son épaule et le dénuda, il avait une énorme cicatrice du cou à l’aine, Ol’Kalou lui dit qu’un lion l’avait griffé. Une petite fille d’environ dix ans, cheveux noir coupe au bol, visa… Lenarrateur est étonné de constater que le lion est autant attaché à la fillettequ’elle à lui. L'histoire relate l'amitié entre une fillette nommée Patricia et un lion appelé King, recueilli alors qu'il était lionceau et rendu depuis à la vie sauvage. Cette petite fille surveille les bêtes et lui interdit d’avancer, l’homme la regarde, elle ne cesse de regarder les animaux, jusqu’à ce que l’homme l’a prenne pour un garçon, elle se retourne et lui dit qu’elle est une fille. L'histoire se déroule dans un parc royal du Kenya. Deux obstacles empêchent néanmoins cemariage : d’une part Oriounga est encore un « morane » – autrementdit il n’est pas encore un adulte selon sa tribu –, et par conséquent il nepeut pas se marier. Il travaillait pour le gouvernement. Patricia, atterrée, décide de le suivre, en direction d’unpensionnat à Nairobi. Bullit ressortit les photo du lion bébé, et sur toutes le lion était toujours avec Patricia, sa mère avoua qu’elle avait interdiction d’approcher par sa fille, Patricia affirma que c’était son lion, c’est elle qui l’avait soigné lorsque son boy l’avait trouvé bébé, maigre et affamé. Il était loin d’être le seul à être un ancien chasseur reconverti dans la protection, les autres administrateur de Parc royaux comme lui étaient d’ancien chasseur. Le lendemain, la fille vient chercher l’auteur et l’amena à l’endroit où se trouvait le lion, et attendit, elle attendait la venue du jeune morane, elle savait qu’il viendrait. Cette réponse ne plut pas à l’hôte qui lui raconta l’histoire de son premier safari en Rhodésie. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) Le narrateur raconte l’histoire. John Bullit, l’administrateur du parc, rentre chez lui, et, bien qu’il ne s’attendait pas à le voir chez lui, entame une conversation avec le narrateur, dont on ne connait toujours pas le prénom, ni le nom. Il devait partir le lendemain, et Sybil devait se dépêcher d’écrire une lettre qu’il donnerait à son amie. Sybil pourrait s’occuper à réconcilier son mari. Sybil demanda a sa fille de raconter une histoire qu’elle avait vécu avec les animaux, mais elle refusa, elle poussa son mari a finir de raconter l’histoire qu’il racontait sur la chasse qu’il avait fait avant de la connaitre, mais Patricia le regarda d”un regard fixe, qui empêcha son père de continuer, Sybil le remarqua et s’énerva et fit remarqué à son mari qu’il ne reprocha pas à sa fille, le fait qu’elle rentre tard et qu’elle s’inquiète en l’attendant. Il avait justement amené le petit déjeuné à Patricia et Sybil alla la chercher pour lui présenter. Elle n’avait plus confiance en kihoro non plus car elle comprit que son père l’a faisait surveiller par lui. L'histoire relate l'amitié entre une fillette nommée Patricia et un lion appelé King, recueilli alors qu'il était lionceau et rendu depuis à la vie sauvage. Le livre n’est donc pas difficile à lire, le début est long et ennuyeux, mais la deuxième parti commence l’histoire. Sybil le reçut avec joie, elle était heureuse que son amie Lise Darbois, avec qui elle a toujours gardé contact, lui ai envoyé une lettre par son biais. Elle demanda alors à l’auteur de convaincre sa fille de partir. L’homme est réveiller par un petit singe qui se trouve tout près de son visage, et qui s’enfuit lorsqu’il se lève, en sortant de la hutte, il voit une gazelle monter le perron et la caresse. Le camp des visiteurs du Parc royal ressemblait à un hameau indigène, les huttes ronde avec des murs de boue crépis à la chaux, leur toit pointus couverts de chaume, se fondait dans le paysage. L’homme raconta son réveil et sa rencontre avec un singe et une gazelle, Patricia lui expliqua qu’ils lui appartenait mais qu’ils se faisaient caresser par tout le monde comme un chien ou un chat. King : Le lion que Patricia a élevé dès le plus jeune âge. Patricia est une enfant, l’innocence même, il l’a d’ailleurs pris pour un garçon au début. Les braconnier tuent les rhinocéros ainsi que les éléphants, pour leur corne d’ivoire et les donnent aux hindous implanté ici qui servent d’intermédiaire. Le narrateur assiste lui aussi àl’événement, impuissant ; il ne peut que contempler la douleur dePatricia, qui s’écroule. En second lieu,Patricia déclare qu’elle est déjà mariée à King. Le narrateur l’appela Bull (taureau) Bullit comme on le surnommait à Nairobi, et l’administrateur lui expliqua d’ou venait ce nom. Il ne faut pas oublier que l’auteur est un reporter, et le reporter s’attache à tout les détails. Le lien quiles unit semble être de l’ordre du surnaturel, du merveilleux, de la magie. Elle bu un soda qu’elle avait transformé en limonade avec citron et sucre, et commanda à Bogo en Kikouyo de l’amener dans un endroit, Bogo avait peur et voulu parler au Narrateur, mais la petite refusa, l’homme ne savait que faire, Bogo lui disait qu’il fallait un ranger, d’un buisson apparut Kihoro, qui prit place à côté de Bogo, qui effrayé, car Kihoro appartenait à la tribu Wakamba, comme les Massaï,une tribu guerrière. A son tour l’auteur demanda la raison de leur présence, Ol’kalou lui répondit qu’ils venaient pour les pâturages pour le troupeau et un campement pour leur famille. L’auteur invita John à boire un whisky, là assis tranquillement, ils virent des girafes, des gazelles, ils profitaient du moment. L’homme avait dans ses papiers des lettres de recommandation, l’une officielle qui lui venait du Gouvernement général de Nairobi pour John Bullit l’administrateur du Parc royal, l’autre lui venait d’une des amies de pensions de la femme de John, que le narrateur avait rencontré par hasard avant de quitter la France. Le personnage principal reconnut qu’il ne savait pas que c’était interdit, et demanda si Patricia l’avait trahit. Bien que l’histoire soit très jolie, elle est gâché par tant de description donné par l’auteur, cela rappelle un peu les oeuvres de Gustave Flaubert lui aussi exagère dans les détails futils. L’homme lui explique qu’il veux vivre avec et comme elles, Patricia, le prénom de la petite, comprends que l’homme ne leur veux aucun mal, elle a alors confiance en lui et lui donne la main tout en lui promettant qu’elle lui en montrerait plus tard. La petite fille laissa l’écrivain et s’avança derrière un mur végétal, il entendit un rire d’enfant et ce qui semblait ressemblait à un rire d’animaux, il avait à la foi peur et était à la foi excité de cette future rencontre, il le savait, il allait voir le King. Elle a d’ailleurs tentéde mettre sa fille en pension pour qu’elle bénéficie d’une éducation correcte,mais l’éloignement du parc et de King rend malade la fillette. Ce matin c’était une fausse alerte, pas de braconnier, il n’y avait que des Masaï, eux ne s’intéresse pas à ce trafic, ils ne sont pas voleurs, ou tueurs, et n’achètent rien. John donna aux rangers ses instructions, ils devaient surveiller les Massaï, ce peuple avait pour rituel de tuer des lions à la lance ou au couteau, le parc les tolérer car le territoire leur avait toujours appartenu, et qu’ils n’étaient pas encombrant, du moment qu’il restait dans les endroits conseillé. Un morane — « jeune homme » en maasaï — nommé Oriounga est aussi témoin de la relation entre l'enfant et King. Il demanda à Bogo de les inviter à venir le voir, mais Bogo avait peur, le peuple des Masaï avait décimé son peuple sédentaire, c’était une tribu nomade et sans merci qui détruisait les autres peuple, les Anglais avaient fait cesser ce massacre. Une profonde complicité naît entrel’enfant et l’homme qui ont le même amour des bêtes. King s’approcha de la fille et elle se coucha entre ses pattes. Résumé détaillé de Le lion Le livre " Le Lion " a été écrit par Joseph Kessel et fut publié en 1958 aux éditions Gallimard. Alors tous reprirent la voiture et partirent, mais sur le chemin, Patricia obligea son père à s’arrêter, et à la laisser là avec le voyageur seul, cependant un peu plus loin, kihoro sauta de la voiture pour les suivre. Le voyageur alla donc avec John, sybil et patricia au manyatta. La petite lui raconta qu’elle en connaissait plus sur les animaux que son père lui même, et qu’elle parlait tout les dialectes des environs: kikouyou de par sa servante, swahili parce que les indigènes de toutes races la comprenne, wakamba parce que le chasseur de son père en est un, et le massaï car les massaï ont un droit de passage dans le campement. Elle pensait que Oriounga aurait parlé, et que tous l’acclamerait à sa venue. Elle ajoutequ’il est trop tard pour lui, pour qu’il comprendre ce qu’elle veut dire. Patricia l’appela pour qu’il arrive, le lion rugit, elle le calma, elle commandait et le lion et l’homme leur moindre fait et geste, l’homme devait avancer doucement, le lion se tenir tranquille, jusqu’au moment où le voyageur put se rapprocher du roi, le caresser. Par chance, le narrateur a l’occasion d’assisterà un des rendez-vous entre le lion et la petite fille. Bullit vint le rejoindre pour finir la bouteille de whysky qu’il lui avait offert, ils parlèrent de King. Ils allèrent prévenir le chef du village le plus proche, qui leur dire “vous avez eut de la chance que ce ne soit pas un lion, votre père ne vous l’aurez pas pardonné” , il reconnut que le chef avait raison. La mère est inquiète, le père la rassure, il sait qu’elle viendra. Le Lion est un roman de Joseph Kessel paru chez Gallimard en 1958. Lorsqu’il l’abandonna une première fois au fond du parc, Sybil amena sa fille dans une des meilleure pension de Nairobi. Les scribes (genre de secrétaire) vêtement Européen avec cravates. Les serviteurs de longues tuniques blanches serré à la taille par un bandeau bleu Le lendemain, la fille envoya son singe Nicolas et sa gazelle cymbeline chercher le narrateur à sa hutte. Patricia lui répondait avec une assurance, et une sagesse qui le gêné, elle en savait plus sur les animaux et la vie dans la savane, que beaucoup d’adultes. Avant, un morane avant d’être un homme et avoir une femme, devait affronter un lion avec une lance et un coutelas. Tout ce qui se trouvait dans la pièce, ou presque, étaient des objets de famille que ses beaux parents avait amené en Afrique au début du siècle. le narrateur : Un visiteur du parc, témoin du drame qui se noue. Ilsjouent ensemble, elle se jette contre son flanc et il la renvoie avec sa pattecomme si elle était une balle de tennis. Le chef du clan promit de payer une indemnités aux wakamba. Il y a souvent des braconniers qui viennent tuer et voler les cornes des rhinocéros, leur cornes réduit en poudre est un aphrodisiaque en Extrême Orient. Le lion se calma lorsque la petite se coucha entre ses pattes. Patricia assiste à la scène, déchirée, désespérée. Il rentra, il lui restait une heure avant de partir chez les Bullit pour le thé. Les photos étaient classé par date, et en un an il avait pris une taille colossale. C’est une histoire magnifique, entre une petite fille solitaire, indépendante et joyeuse coincée entre un monde sauvage, beaux, libre, sans règle et un monde européanisé, humanisé, avec des codes de bonne manière, des règles à respectés. Arrivé proche de l’endroit où se trouvait le lion, la petite voulut partir, mais renonça et se mit à pleurer pour la première fois, toutes les larmes de son corps, comme n’importe quelle filles de son âge. La nourriture des Massaï se composait de lait le soir et de sang le matin, directement bu au cou de la vache, fait par une petite incision qu’ils colmataient avec leur main pour refermer l’entaille, sans que la vache ne réagisse. L’homme lui dit qu’ils étaient amis, mais la petite lui répéta deux fois qu’elle n’avait pas d’amis, tout en continuant d’observer les animaux qui buvait à une rivière avec pour paysage au loin le kilimandjaro et sa neige éternelle. Il ne veut plus de cette obligation, il veut être seul, il décide d’écrire un mot à Bullit pour lui dire de contacter par radio Nairobi pour annulais sa place dans l’avion de Zanzibar pour son retour. Les Massaï ne mentent jamais, et on avoué qu’ils n’avaient pas volé deux vaches, mais trois. Il ne savait lui même pas trop ce qu’il attendait. L’histoire se déroule au Kenya et les personnages principaux sont Patricia, une fillette qui vit dans la région, le narrateur dont on ne dispose pas du nom et un lion nommé King. Il avait 14 ans et avec un autre ado de son âge, il alla dans une brousse à lion, où la chasse était interdite, il vire un fourré bouger et de peur tira, ce n’était pas un lion, mais un homme.
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