Politique de cookies | Lire ses 409 critiques, Suivre son activité Bref, malgré son budget cheap et ses quelques imperfections, "Following" est un film captivant et plein de promesse sur le talent d’un réalisateur qui, de "Memento" au récent "Inception" en passant par les derniers "Batman" (le logo sur la porte du héros est d'ailleurs un signe du destin), n’a eu de cesse de confirmer son génie. 1625 abonnés Il faut savoir qu'avant d'entamer cette trilogie, le cinéaste anglais a réalisé trois films : Insomnia, Memento et donc Following. 105 abonnés De plus selon la fiche "allociné" c'est un budget de 6000$ Le scénario est très travaillé, très soigné et très intéressante a suivre, captivant du début jusqu'à la fin: est quelle fin, encore un twist final qui ma encore bien scotché et bien surprit: Bravo. Fanny Liatard, Jérémy Trouilh, Avec Premier film de monsieur Christopher Nolan et d'emblée le jeune cinéaste qu'il était faisait ressentir la pattes qu'il allait instaurer dans ces futures œuvres. Chronologie non linéaire, personnages opaques, scénario travaillé et twist final surprenant ; tous les éléments qui ont fait le succès du réalisateur britannique 2 ans plus tard avec Memento sont déjà là. En tous cas ça m'a emmerdé au possible sur les dernières 40 minutes. Ici, on aime l'esprit critique. Lire ses 4 639 critiques, Suivre son activité Premier film de grand Nolan qui encore une fois montre l'étendu du son talent. Politique de cookies | Retrouvez les 164 critiques et avis pour le film Following, le suiveur, réalisé par Christopher Nolan avec Jeremy Theobald, Alex Haw, Lucy Russell. ... Ici, on aime l'esprit critique. Plus surprenant, le casting composé pourtant d’illustres inconnus réussit à marquer les esprits avec Jeremy Theobald (acteur fétiche des débuts du réalisateur) en écrivain voyeuriste et pigeon de l’affaire, l’insaisissable Alex Haw en classieux voleur (on ne peut que regretter que l’acteur se soit limité à ce seul et unique rôle) et Lucy Russell en héroïne blonde typiquement hitchcockienne. Je ne trouve ça ni bien amené, ni fluide pour un sous. 1998. Fanny Liatard, Jérémy Trouilh, Avec Dès son 1er long-métrage, le réalisateur anglais Christopher Nolan a démontré un savoir-faire impressionnant et imposer un style qui s’affinera au fil du temps sans jamais se renier. regret de ne pas l'avoir vu en V.O. ... Vous pouvez aussi ajouter votre critique ! Un premier film très fauché pour Christopher Nolan mais le manque de moyens n'empêche pas l'imagination, et on a déjà son goût pour la narration non-chronologique. Notons que la femme n'est jamais présente avec les deux hommes en même temps. Toutes les informations sur Following, le suiveur, film réalisé par Christopher Nolan avec Jeremy Theobald et Alex Haw sorti en 1999. En bref je vous conseille surtout de regarder ce Follwoing après Memento et le Prestige qui sont, en ce qui me concerne, les deux films les plus significatifs du style de Nolan et ainsi vous aurez une autre vision sur ce Following. Bien que Following préfère s’attarder sur son enquête et non sur l’histoire des personnages qui ne servent de pions qu’au déroulement du script, Christopher Nolan livre une première œuvre tout simplement bluffante de maîtrise tout en imposant son style scénaristique. J'avoue avoir pensé sur le coup, tiens c'est pas mal, il n'y a pas d'intrigue, juste des mecs qui aiment deviner des choses sur les gens. C’est agaçant cette manie de vouloir se distinguer. 140 abonnés C'est un vrai tour de force que d'arriver à raconter une histoire si peu linéaire avec autant de fluidité. ©AlloCiné, Retrouvez tous les horaires et infos de votre cinéma sur le numéro AlloCiné : 0 892 892 892 (0,34€/minute), Avec 30 avis 1999 - Drame (1h09) de Christopher Nolan. J'espère qu'il ne s'agit pas là d'une autoréférence lourdingue avec conneries à décortiquer (avec Nolan on ne sait jamais) vis à vis d'Inception. Lire ses 1 005 critiques, Suivre son activité Le noir et blanc, le jeu sur l'éclairage et l'image tremblée recherchés par Nolan donnent à l'esthétique du film un côté glauque, froid. Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Le premier film de Christopher Nolan. 69 abonnés Un procédé assez tortueux et risqué auquel le spectateur n’est pas spécialement habitué, pouvant lui faire peur et se désintéresser du long-métrage. : C'est peut être Following est le premier long-métrage de Christopher Nolan, réalisateur que tout le monde connaît maintenant grâce à sa trilogie de Batman. Et comme vous vous laisserez emporter par la trame et les indices disséminés par Nolan, vous vous ferez prendre au jeu comme le personnage principal. Qui sommes-nous | Following, le suiveur Le bon-film-pas-très-connu-du-mois de mai est : Sorti en salle le 1er décembre 1999. Revue de presse | Ce premier métrage du futur réalisateur très populaire qui a su redonner vie au chevalier noir est pourtant peu connu et pourtant ce film se révèle a mes yeux bien plus efficace qu'un certain "Inception" . Contact | Premier long métrage de Nolan, en noir et blanc. peut-être pour coller une couleur hitckokienne. Malgré quelques petites faiblesses techniques et scénaristiques (excusables pour une première œuvre) Following vaut clairement le détour pour découvrir les débuts en fanfare d'un jeune réalisateur plein de promesses (largement tenues depuis). [su_youtube url= »https://www.youtube.com/watch?v=5q8bBAKNSA8″ width= »640″ height= »480″]. À l’occasion de cette rétrospective sur le papa d’Inception et d’Interstellar, voici la critique de Following, le suiveur, un film qui mérite d’être vu au moins une fois dans sa vie, ne serait-ce que pour les aficionados acharnés du réalisateur. Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué. Following que dire: j'ai vu tout les Nolan et j'ai était bluffé a chaque fois, c'est le dernier film qui me manque a voir et je me suis dit, est ce que je vais être encore bluffé: et bien maintenant je peux dire que OUI, j'ai était encore une fois bluffé de part la qualité de la réalisation qui est juste excellent, soigné et très stylé, vraiment magnifique réalisation grâce au talent de Nolan. CGU | Il ne manquait plus que les rires maléfiques. Following, le suiveur - la critique. Les personnages sont très intéressants, et le fait qu'ils soient campés par des acteurs pratiquement inconnus qui se chargent de leur rôle sans esbroufe ajoute encore au réalisme d'un polar peu connu, mais qui témoigne déjà d'un talent incontestable caméra en main chez celui qui est, vous l'aurez sans doute compris, mon réalisateur préféré. Lire ses 911 critiques, Suivre son activité Revue de presse | Comprenez par là que les séquences du film remontent peu à peu dans le sens chronologique du scénario. Bien que cette remarque s’applique principalement au monde hollywoodien, elle s’adresse pourtant à chaque réalisateur en herbe qui ne cherche qu’à montrer son talent, son savoir-faire. conciliant quand on sait que c'est son premier film. Votre abonnement CANAL vous permet de bénéficier des contenus Télérama réservés aux abonnés. le cinéaste boucle en effet son scénario et son histoire sans que Un danger que courait principalement Following, surtout avec une histoire aussi peu accrocheuse (un écrivain paumé qui s’amuse à suivre des inconnus dans la rue et qui devient cambrioleur malgré lui) et des personnages mis de côté au profit de l’histoire elle-même (juste un seul d’entre eux possède un nom). Lire ses 495 critiques, Suivre son activité Tu aurais ajouter un élément intéressant : le nom Cobb est repris dans Inception par le personnage interprété par Leonardo DiCaprio, qui est aussi une sorte de cambrioleur. En revanche quand vous le remettez dans la filmographie de Christopher Nolan, là le film gagne un tout autre intérêt. Les ingrédients majeurs du grand cinéaste qu'il allait devenir. Si vous le voyez comme ça c'est juste un petit thriller assez prenant et tout ce qu'il y a de plus sympathique. Le film est longuet; dommage l’histoire était bonne. Le montage est en effet décousu, nous voyons des séquences dans un ordre que l'on pourrait qualifier d'illogique mais qui au final l'est au fur et à mesure que le film dévoile ses mystères. Lire ses 1 747 critiques, Suivre son activité Préférences cookies | Une première œuvre vraiment sympathique donc. Découvrez toutes les formules d'abonnement à Télérama. Publicité | Nolan ne pouvait pas faire simple, il fallait qu'il s'amuse à compliquer inutilement son film avec la narration, les flash backs qui s'entremêlent, les coups fourrés qui sont bien visibles... C'est trop artificiel, trop faux pour moi. Par contre Nolan ne laisse aucunement de place à l'interprétation, Tous les ingrédients du genre (...) sont réunis dans ce petit polar British rudement malin, bien ficelé et surprenant de bout en bout (...). l'entraine dans ses combines. Et petit à petit j'ai senti venir l'entourloupe. C’est sans doute la seule faiblesse de "Following", défaut dont Nolan a visiblement parfaitement eu conscience puisqu’il a abandonné ce rythme trop lancinant dès "Memento" et gagne en efficacité à chaque film. 71 abonnés Explications …. Bill relooké et une femme, la troisième protagoniste de l'histoire non nommée dans mon dossier car décisive pour l'histoire. Le noir et blanc donne également une étonnante intimité entre les deux protagonistes que sont Bill et Cobb. Recrutement | On retrouve également une ambiance qui rappelle aussi bien Alfred Hitchcock que David Lynch (ambiance dont était déjà imprégné son court-métrage "Doodlebug") avec un visuel noir et blanc conférant au film une ambiance glaciale et des plans qui s’allongent (parfois inutilement). poser continuellement des questions sur le devenir des personnages. 7 abonnés Images de thèmes de. Enfin, Christopher Nolan parvenait déjà à passionner le spectateur avec un pitch pourtant pas forcément excitant mais qu’il a su porter à son paroxysme (comme pour l’amnésique de "Memento", le flic insomniaque de "Insomnia" ou encore l’affrontement entre magiciens du "Prestige"). Ils incarnent à merveille ces oppositions qui au final les rapprochent. Le premier long-métrage de Christopher Nolan parvient, malgré son budget dérisoire, à instaurer une ambiance morne et désabusée qui sied parfaitement à son intrigue sombre. C'est agaçant cette manie de vouloir se distinguer Il file des Bande-annonce Regarder en VO. Lire ses 3 720 critiques, Suivre son activité Si Christopher Nolan est souvent considéré comme un excellent conteur d’histoires (ce film et son montage en sont la preuve) et non un metteur en scène exceptionnel qui use d’effets mémorables, Following saura convaincre les plus réticents à son cinéma. En lui-même, le film est assez bon, bien qu'un peu maladroit. Le cinéaste nous manipule tout le long du film et même lorsque nous croyons avoir tout compris, la scène finale se révèle être un twist qui déroute encore plus le spectateur. Un coup d’essai réussi pour celui qui deviendra le réalisateur hollywoodien le plus acclamé du XIXe siècle. Gérard Depardieu, Catherine Frot, Jean-Pierre Darroussin, Avec Que font-ils ?… Un jour il suit Cobb, mais les apparences peuvent être trompeuses, et Bill ne sortira pas indemne de cette rencontre. Lire ses 997 critiques, Suivre son activité Un succès certes discret aux yeux du monde entier mais qui sera pourtant les prémices d’une carrière internationale et reconnue. C'est ce genre de maladresse qui nous ramènent au fait que nous sommes bel et bien devant un premier film. Avec Jeremy Theobald, Alex Haw, Lucy Russell, John Nolan . Bill, poursuivi par une obsession, file les inconnus dans la rue. Réalisateur: Christopher Nolan. En effet il est intéressant de voir la "genèse" des tics visuels et narratifs de Nolan et comment ce réalisateur a toujours inscrit ses films autour des thématiques de la manipulation et des faux semblants. avant même que le réalisateur ne commence à s'intéresser à celui Les acteurs sont bons mais pas particulièrement charismatiques. Sinon quand vous A voir absolument. CGU | Je crois que ça m'a rappelé une scène des valseuses (en moins bien, forcément) où ils rentraient dans une maison et humaient des culottes de gamines (si je me souviens bien). Si vous ne le connaissez pas, Memento est le deuxième long-métrage de Nolan. Les décors utilisés (presque tout en intérieur) et la simplicité des objets utilisés n'aident pas non plus pour situer le film dans le temps. Aussi, le noir et blanc donne une certaine intemporalité. Tout ceci relève plutôt du théâtre que du cinéma. Un peu plus loin dans le film, les protagonistes se connaissent mieux. Le but est simple : le scénario et donc le film racontent une histoire qui ne suit nullement l’ordre établi par le temps. Overlord de Julius Avery (critique du film) Sacré Robin des Bois de Mel Brooks; Mandy de Panos Cosmatos; Kill Your Friends d’Owen Harris; Roma d’Alfonso Cuarón; Jeux-Vidéo. Bill, par exemple, change de look au milieu du film (chronologiquement parlant) mais nous le voyons transformé en avance dans le film si bien que l'on ne sait pas très bien si nous avons affaire à deux personnages différents avant d'avoir vu la fameuse scène de relooking.C'est tout là le génie de Nolan car toutes les questions que l'on se pose lors des séquences que l'on ne comprend pas sont répondues sans qu'on ne s'attarde trop à réfléchir sur ces questions. Lire ses 2 232 critiques, Suivre son activité Le cinéma de Nolan, c'est tout simplement le circuit intégré de la matière grise. A voir et à revoir ! Premier chef-d'oeuvre de Christopher Nolan, réalisateur au style atypique (et par ailleurs tout bonnement génial) déjà en place dès ce long-métrage qui inaugure une carrière désormais propulsée au sommet d'Hollywood, sans que le réalisateur n'ait pour autant perdu sa personnalité. Laurent Lafitte, Karin Viard, Vincent Macaigne, Avec Bien avant de connaître la notoriété grâce à la trilogie de The Dark Knight et ses premières œuvres américaines, Christopher Nolan faisait parti de ces cinéastes et pourtant, en livrant Following, le Britannique a su se démarquer très vite grâce notamment à une technique scénaristique qu’il affectionne tout particulièrement et qu’il réutilisera dans d’autres films (principalement Memento, la première partie de Batman Begins et Le Prestige) : la narration non-chronologique. Le 17 octobre 2013. Qui sommes-nous | Critique du film Following le suiveur : Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué. 16 abonnés Dans les petites 70 minutes que durent ce "Following", on retrouve la plupart des recettes utilisées par Nolan parmi lesquelles une chronologie déstructurée, une place prépondérante pour la musique, un goût certain pour les héros border line, une intrigue riche en rebondissements et faux-semblants et un twist final qui donne au film une tout autre dimension. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus. Il n'est pas censé être un pervers ou un délinquant sexuel malgré qu'il suive des gens dans la rue. inconnus jusqu'au jour ou l'un deux, cambrioleur professionnel, Jeux concours | Télérama vous donne les clés pour mieux comprendre et apprécier (ou non) une offre film, série, documentaire inépuisable. A méditer. Toujours pas vu et je l'ai dans mon coffret Nolan. 10 abonnés Bref on n'est nullement étonné que le réalisateur de ce petit film est très bien réussi par la suite. Lire ses 189 critiques, Suivre son activité Mais la maitrise n'est pas totale non plus et ainsi Nolan sombre dans le piège de la scène où les méchants parlent entre eux du plan machiavélique qu'ils ont dressé et ce sans un contexte "valable". Christopher Nolan réussit un coup de maître. Avec Plagiat déconseillé sous peine de stérilisation à la petite cuillère.. Thème Awesome Inc.. Bref Nolan a tarabiscoté son scénario et a filmé le tout en noir et blanc pour faire "arty". Un polar anglais en noir et blanc divertissant, filmé caméra à l'épaule. La direction d'acteurs est impeccable, le scénario est retors, principalement psychologiquement, et il y a de l'idée dans la technique en particulier sur le dernier plan. Ce film a été tourné en noir et blanc sûrement à cause du budget peu conséquent (6000$) mais cela importe peu car ce choix donne un côté noir à l’œuvre. L’ intrigue est bien construite mais Nolan veut déjà faire la différence. Lire ses 283 critiques, Suivre son activité Jouer avec le temps, de la manipulation machiavélique. Cette compréhension est possible grâce aux lieux que l'on voit dans le film mais aussi aux personnages ou bien aux objets. Following est un film noir qui annonce déjà Memento par sa narration anti-chronologique. Une curiosité. Pouvant être a posteriori considéré comme l'anti-Inception ( le dernier film de Nolan s'étayant de prime abord sur une masse d'informations pour finalement se clôturer dans la banalité... à la différence dudit Following qui, fort de son postulat bateau, s'amuse à nous faire perdre pied petit à petit ), Following répond pourtant aux mêmes exigences structurales et narratives : parier sur la fable à tout prix sans pour autant délaisser le rythme et la forme. Pas besoin de beaucoup d'argent pour réaliser des chefs d'oeuvre, Christopher Nolan nous le prouve ici dans un film qui bien que court n'en est pas moins excellent de part de nombreux aspects, à voir et à revoir. Dans ce film nous suivons Bill, un jeune écrivain en grande panne d'inspiration qui décide de suivre des gens au hasard dans la rue. Sans doute histoire de boucler la boucle. Est-ce par manque de moyen (le budget du film s’élève à 6 000 dollars) ou par caprice de Nolan qui utilise ce dernier depuis ses courts-métrages (Doodlebug en tout cas) ? compris, malgré son papier peu engageant. Après le court métrage "Doodlebug", il nous livre cette fois-ci une histoire de dingues ! Jeux concours | Année: 1999. 617 abonnés Un cinéaste à suivre. Intriguant et déroutant. La plupart du temps, pour réussir, il faut se plier aux règles des producteurs en question pour que ceux-ci acceptent de financer le film, le réalisateur n’ayant alors pas encore assez de pouvoir pour imposer son style ou ses ambitions, tout en se pliant aux codes du genre auquel il s’attaque (thriller, comédie, horreur…). Nolan n'a eu besoin que de £6000 et de 69 minutes pour réaliser un vrai bon polar. Préférences cookies | est un véritable divertissement de réflexion qui permet au de se Voila rythmé ,captivant, réalisation magnifique, acteurs parfait dans leur rôle: voila ce qui vous attend dans ce film qui est juste énorme. 1597 abonnés Bon Nolan est un petit malin et je ne sais plus pourquoi j'ai voulu voir son premier film. 128 abonnés Lire ses 1 044 critiques, Suivre son activité Découvrez les 4 critiques de journaux et des revues spécialisées pour le film Following, le suiveur réalisé par Christopher Nolan avec Jeremy Theobald, Alex Haw, Lucy Russell, John Nolan. Retrouvez toutes les infos sur le film Following, le suiveur sorti en 1999 - Synopsys, casting du film; notes et critiques des membres Le bon-film-pas-très-connu-du-mois de mai est : Following est le premier long-métrage de Christopher Nolan, réalisateur que tout le monde connaît maintenant grâce à sa trilogie de Batman. Alors que Bill se soucie peu de son apparence, Cobb lui est coquet et porte des costumes sur mesure. Mais dans les rêves. : chapeau ! Il était une fois en Asie : La saga Lupin III, Les Bonnes manières, de Juliana Rojas et Marco Dutra (2018), Critique ciné: "The Craft - Les Nouvelles Sorcières", Derniers films vus avant le deuxième confinement et non commentés. Cela donne une certaine classe à l’image, certes, mais ce format donne un côté 50’s à l’histoire, si bien que le spectateur peut se retrouver perdu en ce qui concerne l’époque à laquelle se déroule le film. Justement, ça aurait pu être crédible et ajouter une touche d'authenticité au film qui n'est que rarement dans le vrai et qui n'est pas juste. Ainsi que par le montage qui est vraiment énorme, montage inversé, ce qui rend le film un vrai puzzle, un puzzle captivant de bout en bout. Premier film de Christopher Nolan, ce Following souffre simplement du fait d'être un premier film justement. Un effet de mise en scène classique qui permet néanmoins de titiller la curiosité du spectateur vis-à-vis de l’histoire et d’essayer de la construire lui-même avant que celle-ci ne lui soit révélée. Une salle d'interrogatoire, une coiffure, des photos suffisent à nous replacer instinctivement dans le bon déroulement de l'histoire. Un pur chef oeurvre. Un jeune Londonien, naïf et désoeuvré, tue le temps en suivant des inconnus, repérés au hasard de ses errances. Au début du film, le résultat donné n’en est que plus frustrant : un enchaînement de scénettes à première vue sans aucun lien qui se terminent brutalement par un fondu en noir. Un romancier suit des inconnus afin de trouver l’inspiration jusqu’au jour ou l’un deux, cambrioleur professionnel, l’entraine et le manipule brillamment. Les coïncidences sont parfois extraordinaires. Critique de Following, le suiveur par Truman- Déjà avec son premier film Christopher Nolan annonçait son talent avec ce petit polar aussi court ( 1h10 ) que peu couteux ( 6000 $ ) . Mais au lieu de disparaître, il va aller à la rencontre de Bill et va l’entraîner dans ses combines… Des premières minutes aux suivantes, puis aux dernières, le scénario évolue dans un vertige de complexité, exposant ses informations comme un enfant sage construirait une boule de neige pour une éventuelle bataille, avec un soin méthodique, redoutablement malin et retord, alliant effet d'accumulations et perfectibilité. 362 abonnés Après, pour être franc, en revoyant le film je me suis demandé comment il aurait pu faire autrement finalement... Bon mais sinon ce Following est globalement bon, mais loin d'être excellent. verrez le film, vous remarquerez le logo Batman sur la porte du héros Pour ses fans comme pour les autres, je n'aurai qu'un seul mot : foncez ! Alséni Bathily, Lyna Khoudri, Jamil McCraven, Avec 3.9 . Vous l'aurez Ce scénario tout simple au premier abord se complexifie au fur et à mesure que le film se déroule. Alséni Bathily, Lyna Khoudri, Jamil McCraven, Les meilleurs films de tous les temps selon les spectateurs, Les meilleurs films de tous les temps selon la presse, Bob l'éponge - Le film : Éponge en eaux troubles Bande-annonce VF, Les Fantômes du Belvédère Bande-annonce VF. Christopher Nolan choisit un quidam comme cible de sa manipulation, personnage-outil dont le vide existentiel l'amène à suivre les gens qui l'entoure... Difficile de partir d'un canevas plus absurde, plus ténu, reposant sur aussi peu d'enjeux narratifs. Jean-Paul Rouve, Isabelle Nanty, Claire Nadeau, De Dans Following, Cobb entraîne le suiveur dans ses combines c’est-à-dire entrer dans les maisons ou appartement. sur ce point que le film pêche un peu mais nous pouvons être Olivier Baroux, avec Et ça m'a intéressé. L'intrigue est très intéressante, le jeu des acteurs convainquant et il y a un gros soin apporté sur l'ambiance. Un premier film plein de promesses tenues, d'une rare intelligence, partant paradoxalement d'une idée aberrante, hypothétique, d'une idée qui justement ressemble plus à une non-idée qu'à autre chose. On pourrait tout de même reprocher aux personnages de manquer de profondeur et d'émotions mais Following ne se contente pas de ça et offre un montage particulier. Un romancier en herbe est poursuivi par une obsession. Ainsi, vous vous retrouverez avec une séquence qui se passe avant celle qui la précède dans le montage. Le cinéaste y aborde le thème du "trouble identitaire", omniprésent dans sa filmographie. Données Personnelles | Télérama vous donne les clés pour mieux comprendre et apprécier (ou non) une offre film, série, documentaire inépuisable. Bien que celui-ci semble se passer dans le présent (suffit de voir les vêtements et les décors), le noir et blanc donne pourtant l’impression que Following embarque le spectateur dans l’époque de la Prohibition en faisant dériver son histoire dans une ambiance plutôt mafieuse où défilent décors luxueux et rétros (un club, un appartement chic), objets anciens (une machine à écrire) et une blonde hitchcockienne (coiffure et apparence vestimentaire d’époque) au service d’une histoire de gangster. Un excellent début pour Nolan. Juste un exercice de style mais sans la frime qui, habituellement, va avec le néo-polar. ci. Il a la particularité d'avoir un montage peu commun car le film se déroule plus ou moins à l'envers. Et c'est son premier ! 86 abonnés Sachant que le film dure une heure dix, c'est pas mal. Nolan, faut le suivre. Un splendide polar avec un sujet original et une manière curieuse de le tourner ! Follow @aVoiraLire Réalisateur: Christopher Nolan Lire ses 154 critiques, Suivre son activité Liste des Critiques pour Following: le suiveur Onglets principaux. Following se présente donc comme un thriller à la trame labyrinthique qui pousse le spectateur à rassembler les morceaux d’un même puzzle pour lui permettre de reconstituer l’histoire dans sa tête, jusqu’au moindre détail, et d’être impressionné par une révélation finale, un twist qu’il n’aura pas su voir venir malgré un synopsis basique. J'ai trouvé le film vraiment intéressant à partir du moment où il rencontre Cobb. Recrutement | Cobb et Bill: le début d'une grande amitié ... ou pas. Jean-Paul Rouve, Isabelle Nanty, Claire Nadeau, Avec Premier long-métrage pour le réalisateur Christopher Nolan qui, malgré qu’il soit méconnu du grand public, beaucoup de spectateurs considérant encore Memento comme le premier film du Britannique, a su se faire connaître via divers festivals indépendants durant lesquels il a raflé quelques récompenses et des critiques élogieuses. Ex. Ce dernier persuade Bill de franchir le pas et d'entrer par effraction dans les habitations des gens qu'il suit. Mais moi cette soupe ne prend pas. Premier film de Christopher Nolan, sorti en 1999, Following nous dévoile déjà les thèmes et le style de réalisation cher au réalisateur, que l'on retrouve dans ses films suivants. Genre: Hors-Sujet. Vous êtes connecté avec votre compte CANAL. Et le format en noir et blanc dans tout cela ? Et pourtant, au fur et à mesure que Following se dévoile aux spectateurs sa futilité devient toute autre, se mue en thriller déphasé - schizophrénique, diront certains - en petite perle scénaristique diabolique et passionnante. Puis le suiveur se mettra, certaines fois à commettre des effractions tout seul. 41 abonnés Following est le film qui a permis à Nolan de s’entraîner avec ce type de narration qualifié de non-chronologique. Ses films sont souvent difficiles à suivre et laborieux sauf « Insomnia » mais c’est un remake dont il n’est pas le scénariste. Publicité | 54 abonnés On sent que c'est un premier fait avec peu de moyen mais déjà prometteur, cela se confirmera par la suite. Following, le suiveur, un premier coup d’essai réussi . l'on puisse se poser de questions à la fin du film. Gérard Depardieu, Catherine Frot, Jean-Pierre Darroussin, De S’il est vrai qu’ici, le réalisateur ne fait que filmer et suivre ses comédiens (très bons, soit dit en passant), le fait d’avoir choisi le noir et blanc participe également à se jouer du spectateur. Ce film en quelque sorte interactif, Nolan le raconte certes à sa manière, mais ne laisse jamais le spectateur sur le banc de touche en lui fournissant des plans d’insert, des images subliminales qui permettent d’indiquer l’importance de celle-ci à l’histoire (gros plans sur un objet, séquence qui s’attarde sur le regard d’un personnage…). Following, le suiveur. Son manque de rigueur le conduit à être repéré et à être lui-même par Cobb, un cambrioleur psychopathe et sophistiqué. Synopsis : Bill est un jeune Observez que les personnages sont toujours de profil car opposés et en position de duel mais que la caméra est plus proche pour illustrer ce rapprochement.
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