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Cependant, avec le temps, le mouvement d’opposition mobilise des gens de tous âges et de toutes les catégories sociales. À la suite de l'attaque du Sud, le. Après avoir pris les plateaux centraux et coupé les forces sudistes en deux, puis écrasé la partie nord du Viêt Nam du Sud, les troupes de l'armée populaire vietnamienne se tournèrent ensuite vers le sud, tandis que de nouvelles troupes franchissaient la frontière depuis la RDVN. En décembre 1974, les troupes de la RDVN font une nouvelle tentative en envahissant la province de Phuoc Long (en) depuis le Cambodge. Après que les communistes eurent refusé toute négociation, Dương Văn Minh ordonne la reddition des troupes de l'ARVN le 30 avril, qui est acceptée par la RDVN, tandis que des hélicoptères américains surchargés évacuent la ville et que les premiers boat-people font leur apparition. La télévision fut introduite lors de la guerre du Viêt Nam, le 7 février 1966. Ainsi la plupart des baby boomers, sinon tous, n’avaient jamais été exposés à la guerre. Tout homme en âge de porter une arme était exécuté[50]. Une grande majorité d'Américains eut le sentiment d'avoir été trompée et la victoire semblait désormais impossible[52]. En 1968, le président Johnson débuta sa campagne de réélection. Le parallèle entre crimes vietnamiens et américains était par ailleurs d'emblée en novembre 1966 rejeté par J. P. Sartre : « Je refuse de mettre sur le même plan l'action d'un groupe de paysans pauvres traqués obligés de faire régner dans leurs rangs une discipline de fer, et celle d'une armée immense soutenue par un pays sur-industrialisé de 200 millions d'habitants. Toutefois, des études universitaires plus récentes et reposant davantage sur des sources et des points de vue vietnamo-centrées présentent Ngô Đình Diệm comme un leader compétent, avec une vision de long terme sur la construction nationale et la modernisation du Sud Viêt Nam[1],[2]. Une tentative de coup d'État a lieu le 11 novembre 1960, lorsqu'une partie de l'armée menée par le lieutenant-colonel Vương Văn Đông attaque le palais présidentiel. souhaitée]. Selon des dossiers partiellement déclassifiés, 6 359 officiers de l'Armée soviétique, envoyés comme conseillers militaires, prirent part aux opérations de combats, principalement dans la défense anti-aérienne. Les principaux supporteurs de Diệm se trouvent en Amérique du nord, non au Vietnam libre », « d'établir un gouvernement donnant raisonnablement satisfaction », « Le gouvernement Eisenhower quitta le pouvoir sans avoir apparemment jamais compris jusqu'à quel point l'Amérique s'était liée à la survie du Sud-Vietnam, À Hué, le FNL aurait massacré environ 3 000 intellectuels, commerçants et personnes liées au régime sud-vietnamien, « je n'ai pas envie d'aller faire joujou avec un vieillard anglais de 94 ans », « Elles ne peuvent servir qu'à tuer des gens dans un énorme rayon », « on brûle des villages, soumet la population à des bombardements massifs et délibérément meurtriers, on tire sur le bétail, on détruit la végétation par des défoliants, on ruine les cultures par des épandages toxiques, on mitraille au hasard et partout on tue, on viole, on pille cela c'est le génocide au sens le plus rigoureux ; autrement dit l'extermination massive », « Je refuse de mettre sur le même plan l'action d'un groupe de paysans pauvres traqués obligés de faire régner dans leurs rangs une discipline de fer, et celle d'une armée immense soutenue par un pays sur-industrialisé de 200 millions d'habitants. Ngo-Dinh Quynh, Ngo-Dinh Le Quyen, Jacqueline Willemetz, corps expéditionnaire français en Extrême-Orient, tentative de coup d'État a lieu le 11 novembre 1960, Front national de libération du Sud Viêt Nam, interdiction d'utiliser des drapeaux bouddhistes, The South Vietnamese Economy During the Vietnam War, 1954-1975, https://www.monde-diplomatique.fr/1980/01/DEVILLERS/35415, Gouvernement révolutionnaire provisoire du Sud Viêt Nam, Accord en 17 points sur la libération pacifique du Tibet, Insurrection de juin 1953 en Allemagne de l'Est, Occupation de la République dominicaine par les États-Unis, Mouvement du 30 septembre 1965 en Indonésie, Invasion de la Tchécoslovaquie par le Pacte de Varsovie, Conflit frontalier sino-soviétique de 1969, Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires, Coup d'État du 11 septembre 1973 au Chili, Traités Salt sur la limitation des armements stratégiques, Incident du peuplier dans la Joint Security Area, Coup d'État du 12 septembre 1980 en Turquie, Traité INF sur les forces nucléaires à portée intermédiaire, Révolution démocratique de 1990 en Mongolie, Conférences de la guerre froide en Europe (1945-1955), Liste des résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies, Traités internationaux de la guerre froide, Organisation du traité de l'Atlantique Nord, Dissuasion et prolifération nucléaires pendant la guerre froide, Forces armées de l'OTAN et du Pacte de Varsovie, Liste des traités de contrôle et de limitation des armements, Histoire du renseignement soviétique et russe, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=République_du_Viêt_Nam&oldid=181081738, Article contenant un appel à traduction en anglais, Portail:Relations internationales/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Le 27 avril 1975, sans savoir qu'elles ont été bernées par leurs « soi-disant » alliés sur l'intention réelle de négociation des communistes qui ont décidé la journée même d'écarter toute solution pacifique (selon le témoignage de l'ambassadeur des États-Unis, Graham Martin[14]), les deux chambres de l'Assemblée, en violation des articles 42 et 56 de la constitution du Viêt Nam, votent pour un transfert et ce, sans même atteindre le quorum fixé. Entre-temps, lors d'une réunion des quatre « Grands » à Berlin en février 1954, il avait été décidé d'organiser une conférence à Genève à partir du 26 avril, où l'on traiterait de la Corée et de l'Indochine. La dernière modification de cette page a été faite le 21 mars 2021 à 12:07. Les investissements massifs dans l'éducation et la santé à l'échelle du pays sous l'autorité d'un parti communiste d'avant-garde ont permis de limiter les pertes humaines et matérielles puis de souder la population[128],[129]. Parmi les cinéastes influençant cette image figurent entre autres Stanley Kubrick, Michael Cimino, Francis Ford Coppola et Oliver Stone, vétéran du Viêt Nam au sein de la 25e division d'infanterie, qui réalisera une trilogie sur ce conflit avec les films Platoon, Né un 4 juillet et Entre ciel et terre. En 1967 deux sessions furent organisées, la première du 2 au 12 mai à Stockholm en Suède, la seconde du 28 novembre au 1er décembre à Roskilde au Danemark. Début avril, la région de Saïgon est encerclée. L'administration américaine doit aussi faire face à des accusations internationales à l'été de bombardement des digues nord-vietnamiennes sur le Fleuve Rouge, qu'elle dément. En tout, selon une enquête publiée dans un journal sud-coréen en mars 2016, 9 000 civils sud-vietnamiens ont été tués en 80 massacres durant toute cette guerre par l'armée sud-coréenne[102]. Sur les ordres du président Kennedy, l’ambassadeur à Saïgon Henry Cabot Lodge, Jr. refuse une rencontre avec Diêm et ne l'avertit pas qu’un coup d’État est préparé par ses généraux, conduits par le général Duong Van Minh[6]. », « Lord Russell jugeait cela inutile, comme s'il s'agissait de traîner en justice les Juifs du Ghetto de Varsovie pour leur soulèvement contre les nazis », « faire directement ou indirectement pression sur le gouvernement de la RDV pour l'amener à composer », « Au Nord comme au Sud, les bombardements américains tuaient deux civils pour un militaire », « Les USA veulent garder leur mainmise économique sur les richesses du pays. Ce mouvement subit une double critique concernant le rôle des médias dans la guerre. Ainsi, seuls 13 % des terrains seront effectivement redistribués. McCarthy perdit les premières élections primaires dans le New Hampshire, mais il provoqua la surprise en réalisant un score élevé contre le sortant. C’est une manœuvre scientifique qui se révèle la plus fructueuse. Les négociations pour le traité de Paris sont dirigées côté Sud-Viêt Nam par le principal négociateur américain, Henry Kissinger, pour assurer la réélection de Nixon. Cette opération dura 38 mois et déversa un demi-million de tonnes de bombes. Son but n’était pas seulement la conquête territoriale, mais l'amplification de l’opposition à la guerre aux États-Unis mêmes. Lors de la guerre, le rôle des médias était très important. Ce sera la première tentative d'invasion d'importance depuis la bataille de Dai Do en mai 1968. Au Sud (l'État du Viêt Nam), sous la pression américaine, la France nomma Ngô Đình Diệm comme chef de gouvernement en juillet 1954 (sous la présidence de l'empereur Bao Dai). La foi du public américain en la « lumière au bout du tunnel » fut balayée le 30 janvier 1968 quand l'ennemi, supposé être sur le point de s'effondrer, lança l'offensive du Tết. Le 20 janvier 1961, le président Kennedy débuta son mandat et confirma l'interventionnisme américain en portant à 15 000 hommes l'effectif des conseillers militaires. Jusqu’à la fin de sa présidence, Kennedy sera tiraillé entre le retrait et l’accroissement de l’intervention américaine au Vietnam[24]. Début 1958, des formations de maquisards s'emparèrent d'un millier d'armes dans la région de Tay Ninh, ce qui permit d'équiper les premières unités. La manifestation du 15 novembre 1969 serait le rassemblement le plus important tenu dans la capitale des États-Unis contestant la participation à la guerre vietnamienne[74]. L’offensive du Têt a conduit à plusieurs évolutions : d'une part, elle renforce la détermination du gouvernement de Saïgon à lutter contre la guérilla ; d'autre part, elle permet l’ouverture de la conférence de Paris et l'aboutissement aux accords de paix de Paris en 1973. De toute façon Jean-Louis Margolin concède qu'il s'agissait d'une guerre civile autant qu'une guerre de libération avec « quantité d'atrocités et d'exactions y compris contre des civils récalcitrants [...]. Il décompta juste dans la masse des milliers de victimes présumées du FNL, quelques exécutions par des guérilleros isolés, pendant l'occupation de Hue, d'adversaires du FNL qui tiraient pour refuser de se rendre ; puis des victimes de tueries perpétrées contre des civils par le FNL et les Nord-Vietnamiens, en fin de bataille pour se venger de leur défaite[99]. La route de Saïgon était alors ouverte et rien n'arrêtera plus les troupes de l'Armée populaire vietnamienne. Il y aura eu au maximum sous sa présidence 800 conseillers militaires[16]. Depuis la guerre du Viêt Nam, la majorité de l’information diffusée est issue de ces conférences. Les principaux supporteurs de Diệm se trouvent en Amérique du nord, non au Vietnam libre »[39]. Le 3 juin 1963, une marche de protestation se termine par une charge de l'ARVN. Ils étaient, en quelque sorte imprégnés par, ce qu'on a longtemps appelé en France, « l'anticommunisme primaire ». L'incident du Mayagüez de 1975 au Cambodge est considéré comme la dernière bataille de la guerre du Viêt Nam et opposa combattants américains et Khmers rouges. De son côté, la RDVN n'était pas intéressée par un accord de paix à long terme : son objectif restant toujours d'envahir la RVN afin d'unifier tout le Viêt Nam. 4 (2005) : 549-. Le 21 avril, le président Thieu démissionne pour permettre à son vice-président, Trần Văn Hương (en) de trouver une solution pacifique. Par ailleurs, la contamination d'une partie des sols entraîne aujourd'hui encore de graves problèmes de santé (malformations à la naissance, hypertrophie, rachitisme, cancer des poumons et de la prostate, maladies de la peau, du cerveau et des systèmes nerveux, respiratoire et circulatoire, cécité, diverses anomalies à la naissance) surtout dans les campagnes[89],[90]. Rompues le 4 mai à la suite de l'attaque de la RVN, les négociations reprennent le 13 juillet à Paris entre Henry Kissinger et Lê Đức Thọ. Plusieurs titres de presse émergent aux États-Unis afin de contester et d‘organiser les mouvements contestataires contre ces atrocités. Pourtant, dans ses Mémoires, il admet avoir abandonné ses plans d’intensification de la guerre à cause de ce mouvement et de l’opinion publique[75]. Ainsi, malgré le traité de paix, les attentats et les embuscades continuent. La marine chinoise était également présente : les dragueurs de mines nettoyèrent une surface de 201 km2. 2003 10 24 > … Paniqué, Thiệu ordonne la retraite sur Đà Nẵng à la 1re division d'infanterie (sa meilleure unité), alors stationnée autour d'Hué. Durant l’ère Eisenhower se développa un « complexe militaro-industriel » : des films à gros budget se firent avec l’aide de l’armée. Fin février 1968, Jacques Amalric, correspondant du Monde aux États-Unis, faisait état des premiers doutes apparus dans le pays sur la légitimité du tout premier bombardement aérien d'août 1964 consécutif aux incidents du Golfe du Tonkin[54]. Les Khmers rouges prirent la capitale du Cambodge le 17 avril 1975 et instaurèrent le régime du Kampuchéa démocratique. L’arrivée de Mao Zedong à Pékin offre un arrière-pays aux forces armées communistes jusqu’alors isolées sur les plans diplomatique et militaire, et déplace de Moscou à Pékin la menace communiste crainte par les États-Unis. Les dernières plantations françaises seront dissoutes entre 1975 et 1976, avec l'arrivée des communistes du Vietminh. Cette politique devint la clé de voûte de la « doctrine Nixon ». La guerre américaine d'Indochine ne fut jamais déclarée. Le Cambodge fut le pays le plus bombardé de l'histoire selon l'historien Ben Kiernan[63]. Ce dernier étant partagé en deux zones de regroupement militaire des forces armées françaises et vietnamiennes de part et d'autre du 17e parallèle. Dès 1948, le Département d'État américain commença à déplorer son « incapacité à offrir la moindre solution praticable au problème de l'Indochine », étant donné « le fait désagréable que le communiste Ho Chi Minh est le personnage le plus fort et peut-être le plus compétent qui soit en Indochine et que toute solution proposée dont il serait exclu ne serait qu'un expédient à l'issue incertaine »[10]. Le retrait américain est pallié par d'importantes fournitures d'armes au régime de Saïgon de la part de Washington, qui se révèleront insuffisantes pour Saïgon. Après une ultime campagne de bombardement stratégique sur les villes nord-vietnamiennes, nommée l'opération Linebacker II en décembre 1972 menée pour inciter le Nord-Viêtnam à accepter le retrait de ses troupes du Sud-Vietnam mais qui coûtera à Washington la perte de 81 avions, les accords de paix de Paris seront finalement signés en janvier 1973 et reconnaîtront la présence de troupes nordistes au Sud. Des archives déclassifiées de la National Security Archive tendent même à attribuer directement la responsabilité de ce coup d'État et la mort de l'ex-président sud-vietnamien à la CIA[12],[10],[13] et à Kennedy[10]. Pour Noam Chomsky et Edward Herman, auteurs de La Fabrication du consentement. Le 5 juin 1948, l’ancien empereur Bao Dai est ramené d’exil de Hong Kong pour former le gouvernement d’un Viêt Nam officiellement indépendant, mais toujours très lié à la France. Hué (l'ancienne cité impériale) tombe le 25 mars, puis Đà Nẵng (la seconde cité du Việt Nam) le 2 avril. Pendant la guerre d'Algérie j'ai toujours refusé de mettre en parallèle le terrorisme à la bombe qui était la seule arme des Algériens et les actions et exactions d'une riche armée de 500 000 hommes occupant tout le pays. Couvrant les principales villes du Sud Vietnam, il s'agissait à l'origine d'une unique chaîne qui était diffusée une heure par jour, avant d'augmenter jusqu'à six heures de diffusion le soir au cours des années 1970. L'opposition entre les deux régimes vietnamiens provoque la guerre du Viêt Nam, dans laquelle les États-Unis s'impliquent de plus en plus. Si un grand contingent américain est déployé dans ce pays, seul 10 à 25 % des troupes engagées ont réellement combattu. », Abréviation péjorative de « Việt cộng sản » (« communistes vietnamiens »), équivalent du terme français « cocos », J. Justin Gustainis, American Rhetoric And The Vietnam War (Westport : Praeger, 1993), p.3, J. Justin Gustainis, American Rhetoric And The Vietnam War (Westport : Praeger, 1993), p.4, J. Justin Gustainis, American Rhetoric And The Vietnam War (Westport : Praeger, 1993), p.17, J. Justin Gustainis, American Rhetoric And The Vietnam War (Westport : Praeger, 1993), p.5-7, Laurent Pericone, Guerre du Vietnam : La faute à Kennedy ? Bien qu'Eisenhower ait été opposé à une intervention américaine directe au Vietnam et bien qu'il ait cru que le Laos était plus dans une situation sensible[17], le président a tout de même commencé à préparer et à justifier à la population américaine qu’une intervention en Asie du Sud-Est serait possible et souhaitable dans un avenir plus ou moins lointain. En 1959, 15 nouvelles missions militaires furent mises en place et dans le même temps, on construisit 46 bases aériennes et 11 bases navales. À partir de 1966, le nombre de militants diminua drastiquement, mais la mobilisation se renforça l’année suivante[72]. Après recueil et vérification des témoignages, les jurés découvrirent qu'au Nord les frappes aériennes de populations civiles, femmes, enfants et vieillards n'étaient pas simplement dues à une criminelle négligence, mais à un choix délibéré : « On le fait exprès »[109]. Voir le documentaire. Ngô Dinh Can : gouverneur de la cité impériale de Huê. L'une d'entre elles était une émission nationale, l'autre concernait le service militaire et le reste étaient diffusées dans des langues étrangères comme le français, chinois, anglais, khmer et thaï. Le géographe français Yves Lacoste se rend sur place et constate qu'à des endroits précis, visés et atteints par les bombardements, les digues pouvaient désormais tomber sous la pression de la mousson, qui, en 1972, selon Béatrice Giblin, s'avéra heureusement faible[82]. La supériorité tactique du Vietminh mène à la défaite de Diên Biên Phu, qui conduit la France, en juillet 1954, aux accords de Genève mettant fin à la première guerre d'Indochine commencée en 1946. À la suite des incidents du golfe du Tonkin, les 2 et 3 août, le Congrès des États-Unis approuva la résolution du golfe du Tonkin le 7 août 1964, qui offrait au président Lyndon B. Johnson la possibilité de « prendre toutes mesures nécessaires pour faire échec au communisme ». Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. La guerre du Vietnam a également participé à l’émergence du Posttraumatic stress disorder dans le milieu du Vietnam Veterans’ Movement. Ce tribunal se voulait l'héritier de celui de Nuremberg même s'il n'en avait pas la même valeur juridique, du fait de l'absence de toute sanction prise contre des accusés dûment nommés. « Le gouvernement Eisenhower quitta le pouvoir sans avoir apparemment jamais compris jusqu'à quel point l'Amérique s'était liée à la survie du Sud-Vietnam[41] ». Les vainqueurs ont aussi décidé de rebaptiser Saïgon « Hô Chi Minh-Ville » – ou, en vietnamien, « Thanh Phô Hô Chi Minh ». En 1963, Diêm est assassiné lors d'un coup d'État, ce qui aggrave le chaos ambiant, conduisant à une intervention à grande échelle des Américains. Le nombre de pilotes d'hélicoptères tués ou disparus s'élève à 2 181 dont 1 905 pour l'US Army. 2003 10 21 > Choderlos de Laclos – Jean-Paul Bertaud. En novembre, on comptait 16 000 conseillersmilitaires. 1972 est de plus une année terrible pour l'exécutif américain, avec le scandale du Watergate et la publication des Pentagon Papers qui éclaboussent la classe politique. Le général Nguyen Van Hinh (Vietnamien, officier de l’armée de l’air française) ne s’y trompe pas lorsqu’il est pressenti pour l'obtention du poste de chef d’État-major. Dans un premier temps, les médias dominants servent d’instrument de propagande au service du gouvernement américain dépendamment des moments du conflit. En 1963, le président sud-vietnamien est renversé et tué au cours d'un coup d'État militaire approuvé par les Américains. David Otham, correspondant au Viêt Nam pour le London Times et The Economist, écrivit en 1959 que le régime de Diệm, imposé par les États-Unis, « a écrasé toute forme d'opposition, fût-elle anticommuniste. L'URSS avait réagi modérément lors du bombardement de février 1965 : une délégation soviétique conduite par Alexis Kossyguine se trouvait à Hanoï au moment de l'attaque : un communiqué commun soviéto-vietnamien de protestation et un engagement de l'URSS d'offrir à la RDV tous les moyens nécessaires pour sa défense s'ensuivirent[56]; « Moscou se garde de relever le gant »[57]. Finalement, l’information diffusée dans les médias au début de la guerre doit respecter plusieurs règles fixées par l’armée américaine que ceux-ci acceptent[69]. Cette armée passait dans le même temps de 170 000 à 270 000 hommes. En mars 1975, le général nord-vietnamien Văn Tiến Dũng lance une offensive planifiée par ses soins. Ainsi la lutte contre l'avortement (toujours illégal) est renforcée et le divorce est rendu plus difficile, les maisons closes deviennent en principe interdites, tout comme les fumeries d'opium. Ce changement de régime correspond à un changement de situation : le pays se retrouve dirigé par une junte militaire plus pro-américaine et favorable à l'intervention directe de troupes américaines au sol, la guerre du Viêt Nam s'intensifie et tend à s'« américaniser », et le pays va connaître une instabilité politique croissante. En 1980, Ronald Reagan avait axé sa campagne électorale intellectuelle sur la réhabilitation de la guerre la plus noble de l'histoire des États-Unis qu'était la guerre du Viêt Nam. [...] Supposons que nous perdions l’Indochine[…] l’étain et le tungstène, auxquels nous attachons tant de valeur dans cette région, cesseraient de nous parvenir. Les pertes de la défaite de 1972 étaient ainsi comblées. À Hué, le FNL aurait massacré environ 3 000 intellectuels, commerçants et personnes liées au régime sud-vietnamien[réf. Elle a eu de grandes répercussions médiatiques négatives dans toute la France. Il confirma également que plus de 1 400 soldats chinois avaient été tués et 4 200 grièvement blessés. Les Américains justifieront ainsi un coup d'État contre Diêm en 1963 fomenté par certains généraux sous influence américaine, afin d'éliminer l'objection du président Diêm à la venue de l'armée américaine sur le sol vietnamien. Dans les opinions européennes ces crimes avaient suscité des remous au-delà des partis communistes. »[112]. Il gouverne le pays avec ses frères, placés aux postes clés : Son frère Nhu et son épouse (la « Première Dame » du Sud-Viêt Nam, Diêm étant resté célibataire), plus connue en tant que « Madame Nhu », mènent entre 1955 et 1963 une réforme de la société de Saïgon à leur manière et suivant les valeurs de la morale chrétienne. Le 10 février, le FNL attaqua Quy Nhơn et provoqua la mort de 21 Américains.

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