En mars 2020, quelques jours après le début du confinement, Bruno Retailleau appelle à utiliser la chloroquine promue par le professeur Didier Raoult face à l'épidémie de Covid-19, estimant qu’« elle a un avantage, elle n'est pas chère » et que « de toute façon, qu'est-ce qu'on risque ? Elle sera connue sous le nom de Le Jolis de Villiers. Bruno Retailleau est membre du bureau du Mouvement pour la France (MPF), dont il est vice-président. Chef d'entreprise indépendant, président de L'Orfèvrerie d'Anjou (secteur du Luxe), du groupe Kolmi Hopen (il réalise la nouvelle usine du leader européen des masques chirurgicaux, visitée par le président, Blasons des communes de Brucheville et de Villiers-Fossard, Philippe Houël de Chaulieu, « Famille Le Jolis », in, Société d'archéologie et d'histoire de la Manche, « Famille Le Jolis de Villiers » in. Le bailli de Cotentin ou son lieutenant à Carentan, donna gain de cause à Guillaume Le Jolis. Ils seront adoptés ultérieurement par leur tante maternelle de Saintignon, originaire de Lorraine. C'est au cours de ce siècle que Jacques de Villiers (1913-2000) s'installe dans le département de la Vendée. Le 21 août 2020, quelques jours après qu'un sondage organisé sur Twitter par son homologue Pierre Charon l'a déclaré favori d'un échantillon de 20 000 internautes[49], Bruno Retailleau se déclare « candidat à une primaire à droite »[50]. Guillaume Le Jolis de Villiers (1540- ) épouse Marie du Bouillon ( -1649), anobli en 1595. Pièces originales, famille subsistante de la noblesse française, ancienne collégiale Notre-Dame de Saint-Lô, François-Alexandre-Léonor Le Jolis de Villiers, Jacques Roger Marie Fernand Le Jolis de Villiers de Saintignon, Philippe Le Jolis de Villiers de Saintignon, Nicolas Louis Pierre Marie Le Jolis de Villiers de Saintignon, Bertrand Raymond Marie Louis Le Jolis de Villiers de Saintignon, Pierre Le Jolis de Villiers de Saintignon, L'Intermédiaire des chercheurs et curieux, Liste des familles subsistantes de la noblesse française (L à Z), Liste des familles subsistantes de la noblesse française d'Ancien Régime (L à Z), La famille Le Jolis de Villiers, par l'abbé Debrix, association d'entraide de la noblesse française, Service de documentation extérieure et de contre-espionnage, Direction générale de la Sécurité extérieure, Sa fiche sur le site « Mémoire des hommes », Prénoms, noms de famille et anthroponymie, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Famille_Le_Jolis_de_Villiers&oldid=182459665, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Il entretient depuis des relations tendues avec lui[21]. Il est nommé curé de Brucheville de 1647 jusqu'à sa mort survenue en 1670[12]. En mars 2017, à la suite de la publication du livre-enquête Bienvenue place Beauvau qui lève le voile sur une prétendue utilisation de la machine policière à des fins politiques sous le quinquennat de François Hollande, il porte avec d'autres ténors LR à la connaissance du Parquet national financier et au procureur de la République une douzaine de faits qui seraient délictueux[39],[40]. Il est seigneur du Jonquay. Marie du Buisson est parfois qualifiée de Dame du Bouillon. M.Dubosc, Archives départementales de la Manche. Il est également président du conseil régional des Pays de la Loire de 2015 à 2017. Pierre de Villiers, général d'armée, a été chef d'état-major des armées françaises de 2014 à 2017. Guillaume Le Jolis est le premier personnage formellement recensé de la famille Le Jolis. Après avoir quitté le MPF en 2010, il adhère à l'Union pour un mouvement populaire (UMP), puis est élu sénateur dans le département de la Vendée et préside le groupe UMP puis Les Républicains (LR) au Sénat depuis 2014. Nouveau d'Hozier. Il qualifie également de « désolante » la forte hausse du SMIC préconisée par son homologue au sein du parti LR Guillaume Peltier, jugeant que le « refrain antilibéral » sous-tendu par cette proposition montre l'utilité de son club de réflexion Force républicaine dans le débat public[55]. La famille Le Jolis de Villiers est une famille subsistante de la noblesse française originaire du Cotentin en Normandie où elle a été anoblie en 1595. Aux côtés d'autres dirigeants de LR parmi lesquels Gérard Larcher[45], Bruno Retailleau se prononce en faveur d'une élection primaire pour désigner le candidat du parti à l'élection présidentielle de 2022, nécessaire selon lui pour éviter une élimination de la droite dès le premier tour[46]. Il estime que cette mesure « est le cheval de Troie de la PMA et de la GPA »[54]. Aussi loin que l'on ait recherché, on rencontre pour la première fois un personnage nommé Pierre Le Jolis, exerçant les fonctions de tabellion[Note 1] en 1536 à Sainte-Marie-du-Mont dans l’arrondissement de Cherbourg[Note 2],[2]. Suite à la lettre ouverte aux dirigeants de la France, signée par 20 généraux (dont le général Antoine Martinez, candidat à la présidence de la République) et un millier d’officiers, de sous-officiers et de soldats, Marine Le Pen a proposé au général de la rejoindre dans sa campagne. Il est un des premiers soutiens de François Fillon pour la primaire présidentielle des Républicains de 2016[37] et coordonne la campagne de celui-ci pour l'élection présidentielle de 2017. Sa liste arrive en tête au premier tour, avec 33,49 % des suffrages, et l'emporte au second, avec 42,70 % (54 des 93 sièges du conseil régional), face aux listes socialiste de Christophe Clergeau (37,56 % des voix et 26 sièges) et Front national de Pascal Gannat (19,74 % des voix et 13 sièges)[33]. De cette famille sont notamment issus des officiers dont un chef d'état-major des armées (2014-2017) et des hommes politiques dont un secrétaire d'État sous la Ve République. Il est réélu le 27 septembre 2017[27]. Il préside la mission d'information sur les conséquences de la tempête Xynthia[14]. Bonnes feuilles Election présidentielle : l’hypothèse d’un outsider, un scénario de plus en plus plausible ? Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Il est ainsi le premier des potentiels candidats de la droite à se présenter officiellement[51]. En 2018, il estime dans un entretien accordé au journal Les Échos qu'une augmentation de la TVA aurait été « une mesure de compétitivité efficace », à la différence de l'augmentation de CSG actée par le gouvernement d'Édouard Philippe l'an précédent, et que les 20 milliards de coûts budgétaires affectés à la suppression de la taxe d'habitation « auraient été mieux utilisés à baisser le coût du travail »[55]. L'ascendance connue remonte au milieu du XVIe siècle à partir de Guillaume Le Jolis de Villiers, né en 1540[9]. Les armes de la famille Le Jolis de Villiers sont : D'azur au chevron d'or accompagné de trois aigles d'argent, les vols abaissés[20] ou d'azur au chevron d'or accompagné de trois aigles de sable, 2 en chef et 1 en pointe[21] ou d'azur, au chevron d'or, accompagné de trois aiglettes éployées d'argent[22], Titre de noblesse : vicomte (titre de courtoisie). Il est cité comme bénéficiaire sous la forme de « remboursements de frais » dans l'affaire de détournement de fonds publics au sein du groupe UMP au Sénat[28]. Pierre Le Jolis, personnalité religieuse de la Manche, est l'un des fils de Guillaume Le Jolis. Sur la recommandation du marquis d'O, il avait été décidé de démanteler le château-fort, mais devant l'opposition des officiers du roi, leur capitaine-gouverneur mit tout en œuvre pour en renforcer les défenses. Obser soutenait que Le Jolis n'était ni seigneur ni patron de l'église ; que lui était noble d'ancienne race, qu'il était aussi plus ancien d'âge, et qu'à tous ces titres il devait être préféré à Le Jolis pour la préséance et les honneurs dans l'église. Après l'élection présidentielle de 2017, François Fillon transmet la présidence de Force républicaine à Bruno Retailleau[43]. Fils d'un négociant en grains[3], il naît le 20 novembre 1960 à Cholet (Maine-et-Loire)[1],[4]. À la suite de la démission de Philippe de Villiers de la présidence du conseil général de la Vendée et de son retrait de la vie politique, le 31 octobre 2010, Bruno Retailleau assure l'intérim de la présidence du conseil général en sa qualité de premier vice-président[17]. Les gens meurent »[59]. Il détient ce mandat jusqu'aux élections législatives de 1997, lors desquelles Philippe de Villiers décide de revenir siéger à l'Assemblée nationale. Suppléant de Philippe de Villiers lors des élections législatives de 1993, il devient député à la suite de la démission de celui-ci. Voici la réponse du général… La Grande Muette s’exprime enfin ! Il est à l'initiative du « Cercle vendéen », organisation lancée le 27 juin 2011 afin d’attirer des projets d'implantations d'entreprises, ainsi que des idées d'innovations et des perspectives de développement économique[24],[25]. En décembre 2019, estimant que « le droit de grève n'est pas illimité », il propose d'instaurer un service minimum dans les transports par la réquisition si nécessaire[58]. Seuls Nicolas Hulot et Philippe de Villiers osent dire de façon assumé ce qu’ils reprochent au président. Quelques jours après avoir déclaré à propos du traitement à la chloroquine « peut-être faut-il simplement le prescrire en milieu hospitalier. Joseph Valynseele la nomme « Marie du Bouillon » à sa mort le, Anne Aymone d'Alès est la fille du capitaine Christian d'Alès, diplômé de l'. Seul candidat, il est élu à l'unanimité à la tête de la fédération UMP de la Vendée le 21 décembre 2012, succédant à Louis Guédon[23]. Conjointement avec son épouse, Marie du Buisson, dame du Bouillon[Note 3] (de La Lissondière)[10], Guillaume participe en 1602 à la fondation de la chapelle Saint-Éloi, annexée à l'ancienne collégiale Notre-Dame de Saint-Lô qui dépendait du château, sous l'autorité religieuse de Mgr de Briroy, évêque de Coutances[11]. Bruno Retailleau, né le 20 novembre 1960 à Cholet (Maine-et-Loire), est un homme politique français. Parmi ses enfants deux personnalités s'illustrent sur le plan national : Philippe de Villiers, personnalité politique française, a également été durant de nombreuses années président du Conseil départemental de la Vendée et ses descendants vivent toujours en Vendée où ils ont créé un parc d'attraction touristique. Ce parti est très implanté en Vendée, dont le fondateur et président du MPF, Philippe de Villiers, a longtemps présidé le conseil général. Au mois d'avril, dans le contexte de la crise économique entraînée par le confinement, le sénateur LR défend au cours d'une interview sur France Inter une augmentation du temps de travail[61]. Cabinet des titres. Il préside un temps[évasif] la SA du Grand Parc du Puy du Fou, qui gère le parc d'attractions associé à la Cinéscénie. Philippe Le Jolis de Villiers de Saintignon connu sous le nom « Philippe de Villiers » (1949), sous-préfet, secrétaire d'État à la Culture, fondateur d'un mouvement politique (Le Mouvement pour la France (MPF)), président du conseil général de la Vendée, député, candidat à l'élection présidentielle française de 1995 et de 2007, épouse Dominique Marie Elyette de Buor de Villeneuve. Il rencontre le Premier ministre, Manuel Valls, le 15 décembre 2015, afin de s'assurer du soutien de l'État à ce projet[31] ; il explique dans les colonnes du Point qu'il est prêt à employer la force pour expulser les zadistes, qu'il qualifie de « minorité bornée et ultra-violente »[32]. Le 19 janvier 2021, il lance son application, baptisée « 2022 », qui permettra de suivre l'actualité de sa campagne présidentielle[52]. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La famille Le Jolis était également titulaire du fief de La Ponterie à Villiers-Fossard, dans l'arrondissement de Saint-Lô. « Je le lui dirai » Marine Le Pen chercherait ainsi à contrer le polémiste, relate Le Point. Mariana Grépinet, « Les révélations de la campagne », président du conseil général de la Vendée, groupe UMP puis Les Républicains (LR) au Sénat, élections régionales de décembre 2015 dans les Pays de la Loire, primaire présidentielle des Républicains de 2016, Présentation de Bruno Retailleau aux élections régionales de 2015, « Bruno Retailleau, le fidèle inoxydable de François Fillon », « Les confidences de Fillon à l'heure de passer le témoin à Retailleau », http://www.sciences-po.asso.fr/profil/bruno.retailleau85, http://www.senat.fr/mission_temporaire_coll_ter/index.html, http://www.gouvernement.fr/sites/default/files/communiques/lettre_de_mission_communique_presse.zip, http://www.senat.fr/commission/missions/xynthia/index.html, « Bruno Retailleau succède à Villiers au Conseil général de Vendée », « Bruno Retailleau réélu président du conseil général de la Vendée », https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/depart-de-bruno-retailleau-le-tacle-de-philippe-de-villiers-5232649, « Bruno Retailleau, ex-bras droit de Philippe de Villiers, rejoint l'UMP », B. Retailleau plébiscité à la tête de l'UMP - Vendée, « 117 sénateurs sont soupçonnés d'avoir détourné 8 millions d'euros », « Bruno Retailleau, au chevet des chrétiens d'Orient », « Hortefeux, Ciotti, Morano… L’organigramme complet de la direction de l’UMP », « Primaire à droite: la liste des premiers soutiens parlementaires », « Retailleau, Boyer, Chartier... le dernier noyau dur des soutiens de François Fillon », Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Bruno_Retailleau&oldid=182441902, Personnalité de l'Union pour un mouvement populaire, Sénateur de la Cinquième République française, Député de la Xe législature de la Ve République, Président du conseil général de la Vendée, Élève de l'Institut d'études politiques de Paris, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, Article de Wikipédia avec notice d'autorité, Page pointant vers des dictionnaires ou encyclopédies généralistes, Article utilisant le modèle Dictionnaires inactif, Page pointant vers des bases relatives à la vie publique, Portail:Politique française/Articles liés, Portail:Biographie/Articles liés/Politique, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, 1988 - 2015 : conseiller général de la Vendée, élu dans le. Élu sénateur de la Vendée le 26 septembre 2004, Bruno Retailleau est, au Sénat, membre de plusieurs groupes d'études sénatoriaux (Artisanat et services, Littoral et mer, Économie agricole alimentaire, Élevage, Énergie, Médias et nouvelles technologies, Postes et communications électroniques), et préside la commission du dividende numérique[11]. « Un procès s'éleva entre Richard Osber et Guillame Le Jolis, sieur de Rochefort, pour les droits honorifiques que chacun prétendait avoir dans l'église de Brucheville. BN. Il est réélu le 31 mars 2011 après le renouvellement partiel de l’assemblée départementale[19]. En 1999, compte tenu du naufrage du pétrolier Erika, il contribue par la suite à faire inscrire le principe du préjudice écologique dans le code civil[3]. Son frère, Pierre de Villiers, ancien chef d’état-major des armées, est cité par certains comme possible candidat à la présidentielle de 2022. Et il faut que le directeur général de la Santé dise à tous les hôpitaux de France : allez-y »[59], Bruno Retailleau affirme qu'il n'a « jamais demandé sa généralisation »[60]. Intime du Premier ministre de l'époque François Fillon depuis 1998, son nom est cité en janvier 2009 pour entrer au gouvernement comme secrétaire d'État à l'économie numérique[15], mais le président du MPF, Philippe de Villiers, s'y oppose, voyant dans la proposition faite à son bras droit par le Premier ministre un débauchage susceptible de nuire à sa campagne des élections européennes[16],[3].
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