C’est certainement hors de propos à Strasbourg. Il y a aussi des appels à changer le drapeau et l'hymne national, à un retour dans des villages abandonnés et à l'égalité dans les droits à l'immigration en Israël, en particulier par crainte d'une opposition croissante du nationalisme arabe à la Grande-Bretagne, « L'antisémitisme est une perception particulière des Juifs que l'on peut exprimer comme la haine des Juifs. L’antisionisme ne signifie pas la même chose pour tout le monde et sa définition varie considérablement en fonction des sensibilités politiques. Ahmed Rami » 2000, https://www.marianne.net/Effroyables-complotistes_a185045.html, Israël-Palestine, une troisième voie, par Edward W. Saïd (Le Monde diplomatique), http://www.cairn.info/revue-confluences-mediterranee-2010-1-page-35.htm, [LDH-Toulon] antisémitisme / antisionisme, Chantier sur la lutte contre le racisme et l'antisémitisme, http://www.jcpa.org/JCPA/Templates/ShowPage.asp?DBID=1&LNGID=1&TMID=111&FID=254&PID=0&IID=1064, http://archive.frontpagemag.com/readArticle.aspx?ARTID=14162, http://www.yadvashem.org/yv/en/education/educational_materials/strategies.pdf#page=13&zoom=auto,0,535, Test 3 D d'identification de l'antisémitisme, Site d'un mouvement juif ultra-orthodoxe ou haredim anti-sioniste, Rapport Ruffin : sur l'antisionisme radical, La nouvelle propagande antijuive et l'invention du « Juif nazi », « L'antisémitisme a plusieurs masques, dont celui de la haine d'Israël », Antisémitisme sous la Troisième République, Prise d'otages du magasin Hyper Cacher de la porte de Vincennes, Fusillade dans une synagogue de Pittsburgh, Attentat de Yom Kippour à Halle-sur-Saale, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Antisionisme&oldid=183221983, Article contenant un appel à traduction en anglais, Article avec une section vide ou incomplète, Article contenant un appel à traduction en portugais, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, Page pointant vers des dictionnaires ou encyclopédies généralistes, Article de Wikipédia avec notice d'autorité, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, nonobstant la situation des populations non juives, l'opposition au caractère juif voulu par le sionisme de l'État d'Israël, basée sur l'opinion selon laquelle ce principe, qui est à la base du sionisme, ne serait pas laïque et démocratique, mais religieux ou racial, l'opposition à l'existence d'Israël en tant qu'État, ce qui est le but principal du sionisme, basée sur l'opinion selon laquelle seul un, l'opposition au droit à l'existence même d'Israël ou d'un État juif, souvent dénommé «, les Juifs libéraux, qui croient à une viabilité de la solution politique au sein des nations démocratiques, soit l'assimilation du fait de la citoyenneté accordée aux Juifs, qui serait susceptible de mettre fin à l', les Juifs religieux qui attendent la rédemption et le salut avec la venue du, les sionistes proprement dit, dont le pôle majoritaire est socialiste. C'est l'Alliance internationale pour la mémoire de l'Holocauste (IHRA) qui a rédigé la définition de l'antisémitisme suivante (PDF en anglais) : "L'antisémitisme est À l'initiative d'Israël et des États-Unis, la résolution 3379 est révoquée par l’Assemblée générale qui vote la résolution 46/86 : l'Assemblée générale « décide d'annuler la décision contenue dans sa résolution 3379 du 10 novembre 1975. Selon lui, « l'antisionisme total au sein de la gauche altermondialiste ressemble de plus en plus à celui des négationnistes de la Shoah, qui considèrent cette dernière comme un « mythe fondateur » d’Israël ». There are also calls for changing the flag and the national anthem, for a return to abandoned villages and equality in immigration rights to Israel, Alliance internationale pour la mémoire de l’Holocauste, « À l’entrée du Parc des expositions, une jeune femme distribue des tracts aux participants, annonçant la candidature de Dieudonné, Alain Soral et Yahia Gouasmi, président de la Fédération chiite de France, aux élections européennes du 7 juin sous les couleurs d’un Parti anti sioniste (PAS) », « The General Assembly resolution of 1975, equating Zionism with racism, was an especially unfortunate decision. Le mouvement orthodoxe fondé en 1912, l'Agoudat Israel, refuse alors d'entretenir des rapports avec le Jewish National Council (en) créé par les représentants sionistes[31]. Les liens entre l'antisionisme (ses idéologies et ses conséquences) et l'antisémitisme sont étudiés par divers spécialistes. Parmi les autres dénominations protestantes, l'approche du sionisme peut être plus prudente voire hostile. Houria Bouteldja, du Mouvement des Indigènes de la république, accuse Dieudonné de s’allier avec l’extrême droite et de faire ainsi le jeu du sionisme qu’il prétend combattre[91]. Any historian, commentator or scientist who doubts that is taken to prison or gets condemned. La définition de l’antisémitisme adoptée par l’Alliance internationale pour la mémoire de la Shoah (IHRA) pourrait devenir la nouvelle norme pour le droit français. [réf. Des manifestations avaient lieu ce dimanche 25 avril dans toute la France pour contester l’absence de procès après le meurtre de Sarah Halimi en 2017. Parmi les arguments des antisionistes, on y trouve le reproche qu'Israël agirait vis-à-vis des Palestiniens comme les Nazis l'avaient fait avec les juifs. Le sionisme n'est ni une religion, ni un peuple, mais une idéologie politique, un mouvement, qui a mené à la conception d'un État hébreu. L'universitaire palestinien Edward Saïd, prenant personnellement des positions antisionistes par son souhait d'un État unique sur l'ensemble de la Palestine, puis à la fin de sa vie favorable à une étape de deux États côte à côte, critique fortement ce qu'il juge comme une vague d'antisémitisme entraînée par l'antisionisme[138], en dénonçant les intellectuels arabes fascinés par le négationniste Roger Garaudy. se dit être la protection des lieux saints musulmans de Palestine, principalement l'Esplanade des Mosquées à Jérusalem mais également le Tombeau des Patriarches (el har'am el Ibrahimi) à Hébron - aussi lieux saints du judaïsme, où les juifs avaient peine à accéder sous autorité musulmane et dont les musulmans craignaient plutôt qu'ils s'accaparent. « Caduc ! Néanmoins, il est à noter que c’est seulement après l’accord du Caire avec l’Organisation de libération de la Palestine que le Vatican accepta, en juin 1994, un échange d’ambassadeurs[53]. Selon Noam Chomsky, il existe depuis longtemps des tentatives d'assimilation des deux termes « dans le but d'exploiter les sentiments antiracistes à des fins politiques ». La plus grande crainte des autorités religieuses musulmanes[Lesquelles ?] Offrez une partie de l'Europe, et nous vous soutiendrons. Valérie Igounet écrit à son sujet que sa rhétorique intègre « des thèses islamistes ultra-radicales imprégnées d'antisionisme et d'antisémitisme »[132] ». Elles seront également utilisées sous réserve des options souscrites, à des fins de ciblage publicitaire. Nor the institutionalised discrimination against Israeli Arab citizens in various spheres of life. L'Iran est l'une des premières nations à reconnaître Israël, et est alors considéré comme l'un de ses soutiens dans le monde musulman (avec la Turquie). Nor the unequal treatment of Jewish colonisers and Palestinian inhabitants. On ne parle plus de complot juif mais de complot sioniste. Le Vatican ne cessera par la suite de critiquer les entreprises sionistes[réf. Si l'antisionisme n'est pas explicitement mentionné dans cette définition de l'antisémitisme, elle inclut dans ses exemples « Refuser au peuple juif son droit à l'autodétermination par exemple en affirmant que l'existence d'un État d'Israël est une entreprise raciste. Pour Daniel Lindenberg, la confusion systématique entre antisionisme et antisémitisme est "une antienne chez les inconditionnels d’Israël" et relève de "la vulgate aujourd'hui dominante"[139]. Les informations recueillies sont destinées à CCM Benchmark Group pour vous assurer l'envoi de votre newsletter. Cherchez antisionisme et beaucoup d’autres mots dans le dictionnaire de définition et synonymes français de Reverso. Le Soudan, la Libye, Cuba stigmatisent Israël, régime d'apartheid. lors de discussions sur le statut juridico-financier de l’Église catholique à Jérusalem et la volonté par Israël de taxer le Vatican. antisionisme / Définition, orthographe et synonymes du mot antisionisme sur le dictionnaire français gratuit n°1. Le philosophe Vladimir Jankélévitch a estimé que l'antisionisme était une manière politiquement correcte d'être antisémite, « au nom de la démocratie » : « L'antisionisme est une incroyable aubaine, car il nous donne la permission - et même le droit, et même le devoir - d'être antisémite au nom de la démocratie ! Des pays esclavagistes en toute impunité dénoncent la traite des Noirs, ou le racisme aux États-Unis. Remettant en cause la réalité du génocide juif, Mahmoud Ahmadinejad estime que le devoir de réparation revient aux nations occidentales et refuse que la Palestine demeure le lieu pour un État juif : « Some European countries insist on saying that during World War II, Hitler burned millions of Jews and put them in concentration camps. C'est par exemple la position de l'association, you do not have to be an anti-semite to reject the belief that Jews constitute a separate nation in the modern sense of the word or that Israel is the Jewish nation state. Le 10 novembre 1975 est votée la résolution 3379 où il est décrété « que le sionisme est une forme de racisme et de discrimination raciale ». », répétait Yasser Arafat devant les caméras de télévision. L'antisionisme est l'antisémitisme justifié, mis enfin à la portée de tous. Après la création d'Israël, de nombreux Juifs soviétiques commencent à juger favorablement Israël, ce mouvement soulevant des tensions avec le pouvoir soviétique qui voit dans le sionisme une forme de déloyauté. Ils ont trouvé, au cours de l'enquête sur échantillon, que « des sentiments anti-israéliens permettent de prédire de manière consistante la probabilité que l'individu soit antisémite, cette probabilité d'antisémitisme mesuré croissant en même temps que l'étendue des sentiments anti-israéliens observés ». À la suite de plaintes de la communauté et des instances juives écossaises pour lesquelles le rapport « se lit comme une polémique du temps de l'Inquisition » et prétend mieux connaître le judaïsme que les Juifs, le document est revu et corrigé, concédant finalement que « l'État juif peut rester dans le monde »[58],[61]. Puis, durant les dernières années du pouvoir de Joseph Staline, de 1948 à 1953, les Juifs sont fréquemment dénoncés comme sionistes, souvent à tort. Le 1er juin 2017, le Parlement européen adopte une définition de l'antisémitisme, accompagnée d'exemples, qu'il demande à tous les États membres de l'Union européenne de partager[141],[142],[143],[144] : « L’antisémitisme est une certaine perception des Juifs qui peut se manifester par une haine à leur égard. L’objectif du CRIF, en tout cas, est clair : faire voter une loi criminalisant Quelle arrière-pensée motive cet amalgame ? Comble d’ambiguïté, cette situation a engendré en Israël la création de mouvements néosioniste et postsioniste, en opposition avec le sionisme des « pères fondateurs », mais qui ne sont pas eux-mêmes nécessairement antisionistes[21],[22],[23]. Par la suite, une controverse éclate au sujet du financement de la liste, dont le montant diverge et que l'on dit provenir du gouvernement iranien : elle est notamment alimentée par Ahmed Moualek qui, désormais brouillé avec Alain Soral, publie en 2013 sur Internet une vidéo dans laquelle l'écrivain évoque un financement iranien. », l'auteur répond : « L'antisionisme n'est pas une forme de racisme. Aux obsèques du pape Jean-Paul II, le président israélien Moshe Katsav, d'origine iranienne, affirme avoir pu serrer la main et discuter avec Mohammad Khatami, ce que ce dernier niera. antisionisme. En revanche, dans d'autres courants religieux, Daniel Lindenberg[46] estime que « le courant ultra-orthodoxe religieux qui fut antisioniste est aujourd'hui ce « judaïsme intransigeant » […] qui manifeste dans la colonisation de la Cisjordanie, un enthousiasme pionnier dont il fait remarquer qu'il a depuis longtemps déserté le camp sioniste laïque ». The common denominator of the new anti-Zionism has been the systematic effort to criminalize Israeli and Jewish behavior, so as to place it beyond the pale of civilized and acceptable conduct. L'ayatollah Khamenei, puis le réformiste Mohammad Khatami, maintiennent ce rejet de l'existence d'Israël. Parfois, ceux qui entendaient seulement exercer un droit légitime de critique de certains aspects de la politique israélienne se sont trouvés associés à leur corps défendant aux contempteurs d’Israël comme État colonial, voire raciste, oppresseur, comme une erreur de l’histoire avec laquelle il fallait en finir. Professeure émérite à l’université de Tel-Aviv. Cela mènera à de nombreuses confrontations et émeutes en 1920, 1929 jusqu'à révolte arabe en 1936-1939. Armand Laferrère, « Est-il permis de soutenir Israël ? Il précise quelles sont selon lui les manières d'attaquer Israël ou le sionisme qui sont susceptibles de relever de l'antisémitisme[155]. In the current context, classic conspiracy theories, such as the Protocols of the Elders of Zion, are enjoying a spectacular revival. Cette dernière est assez consensuelle. Une définition « hautement problématique » La résolution est « hautement problématique », affirme le collectif dans sa tribune. définitions déf. » Dans la même mesure, il dénonce le fait que « de nombreux responsables institutionnels et intellectuels juifs français qui exhortent tous les juifs à être inconditionnellement solidaires du gouvernement d’Israël ont une grande part de responsabilité dans cette confusion. Après la création d'Israël en 1948, le Waqf de Jérusalem est placé sous l'autorité du roi de Jordanie. Il est la permission d'être démocratiquement antisémite. Le mode de nomination des membres de la Commission, sa composition et ses fonctions, seront soumis à l'approbation du Conseil de la Société, et la Commission ne sera pas nommée et n'entrera pas en fonctions avant cette approbation"[54]. En 1996, dans le contexte du processus de paix israélo-palestinien, l'OLP vote l'abrogation des articles appelant à l'anéantissement d'Israël de sa charte[71] ; le vote est entériné en 1998. ». Après la création de l’État d’Israël, les mouvements nationalistes palestiniens, le Fatah et le FPLP principalement engagent la lutte armée essentiellement sous la forme de terrorisme contre l'existence de l’État d’Israël puis, à partir des années 1990, apparaissent des organisations islamistes, elles aussi vouées à la destruction de cet État. [pertinence contestée]. Pour Yakov M. Rabkin, professeur d'histoire canadien, les accusations d'antisémitisme adressées à l'antisionisme sont « cyniques […] parce que ce sont les sionistes qui ont accepté la thèse centrale des antisémites selon laquelle les juifs constituent un corps étranger au sein des nations européennes »[168]. Dans ce contexte, les notions de sionisme et d'antisionisme ont évolué. Mensonges sans convictions : telle est la gauche. Avant la montée du fascisme en Europe dans les années 1930 et la Seconde Guerre mondiale qui voit le triomphe du nazisme et sa politique raciale, une majorité des Juifs n'adhère pas à l'idée d'un État juif. Dans La Nouvelle Propagande antijuive (2010), il écrit que « l’antisionisme radical est l’une des principales formes de racisme apparues depuis la fin du XXe siècle. », même s'il ajoute que « dire qu'elles sont distinctes n'est pas dire qu'elles ne sont jamais liées. Ilan Greilsammer, Le sionisme, Presses universitaires de France, Que sais-je ? L'accusation récurrente d'antisémitisme opposée à ceux qui ne font qu'émettre une critique politique du gouvernement israélien crée un amalgame tout aussi funeste et contribue à l’importation du conflit israélo-palestinien en France », et qui, pour leur part, mettent sur le même plan la critique de la politique de l'État d'Israël et la dénonciation de son illégitimité, « déclarer que l'hostilité envers Israël et l'hostilité envers les juifs est une seule et même chose, c'est confondre l'État juif et les juifs. Contrairement au titre de l'article, la citation ci-dessus démontre sans ambiguïté que ce texte n'est donc pas celui de LREM. Le sociologue et politologue français Pierre-André Taguieff estime que l'accusation de racisme à l'égard du sionisme est une résurgence contemporaine des vieilles accusations antisémites[122]. Il devrait lui tenir à cœur de promouvoir le respect des droits de l'homme en général, plutôt que de soutenir la mise au pilori systématique d'un seul pays. Les années 60 ont forgé un autre mot pour désigner une forme déguisée de cette haine gratuite: l'antisionisme ( L'Arche , oct. 1986 , p. 66, col. 1). Lors de la guerre israelo-arabe de 1948, l'URSS et ses alliés du Bloc de l'Est soutiennent Israël. La liste se targue également du soutien du Hamas et du Hezbollah[95]. Ce pacte perdure encore de nos jours et crée un clivage au sein de la société israélienne entre les laïcs et certains religieux. C'est ainsi que le Vatican va pousser lors de la Conférence de San Rémo en 1920 pour l'introduction de l'article 14, exigeant un contrôle international sur les Lieux Saints, lors de la rédaction par la Société des Nations du Mandat sur la Palestine octroyé aux britanniques : "Une Commission spéciale sera nommée par la Puissance mandataire, à l'effet d'étudier, définir et régler tous droits et réclamations concernant les Lieux Saints, ainsi que les différentes communautés religieuses en Palestine. », « L’amalgame systématique entre antisionisme et antisémitisme est devenu la nouvelle arme d’intimidation des « amis d’Israël », Anti-Zionism and Antisemitism: Cosmopolitan Reflections, Michel Staszewski, militant antisioniste de l'. Lors des dernières années de pouvoir de Joseph Staline, entre fin 1948 et 1953, l'antisémitisme et l'antisionisme s'intensifient. Antisémitisme : définition, synonymes, citations, traduction dans le dictionnaire de la langue française. « La dangereuse confusion des juifs de France », Sébastien Jolivet, militant antiraciste notoire, poursuivi pour avoir apposé dans la ville des affiches «, Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste, certains groupements se réclamant du sionisme, Progressive Jewish Thought and the New Anti-Semitism, Accord fondamental entre le Saint-Siège et Israël, Organisation de libération de la Palestine, Grande révolte arabe de 1936-1939 en Palestine mandataire, Union des progressistes juifs de Belgique, Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples, Résolution 3379 de l'Assemblée générale des Nations unies, Déclaration universelle des droits de l'homme, Concours international de caricatures sur l'Holocauste, Les Mythes fondateurs de la politique israélienne, Conseil des droits de l'homme des Nations unies, Observatoire européen des phénomènes racistes et xénophobes, Institut de relations internationales et stratégiques, Antisionisme et antisémitisme ne sont pas synonymes, Au mépris du droit. Mais il en a occulté une partie ». Aujourd'hui, le courant antisioniste en Europe se manifeste par le biais de plusieurs organisations antisionistes, communistes, altermondialistes, d’extrême-droite, pro-palestiniennes ou islamistes. L'opposition à Israël en général et au sionisme en particulier vient de l'ayatollah Khomeini qui déclare Israël « ennemi de l'islam » pendant sa campagne contre le Shah. En 2006 et 2007, Mahmoud Ahmadinejad dit, en citant Khomeiny, « que ce régime qui occupe Jérusalem doit disparaître de la page du temps. On a le droit non seulement de critiquer la politique d'Israël, mais même de s'interroger sur la légitimité de cet État »[123]. Les deux pays gardent cependant des formes de coopération militaire. Parmi d'autres universitaires, tel l'historien Walter Laqueur, le professeur Robert S. Wistrich considère que l'antisionisme est devenu la forme la plus dangereuse et la plus réelle d'antisémitisme aujourd'hui. En effet, les Juifs d'Europe, avant le nazisme, se répartissent approximativement en quatre catégories : À la fin du XIXe siècle et au tout début du XXe siècle, une majorité des juifs orthodoxes n'adhèrent pas au sionisme, voire lui est hostile[27]. Il a considéré qu'« Il est vrai que dans certains discours, le terme de « sioniste » a remplacé le terme de « juif » pour des raisons qui n'ont rien de saines. sur, Alliance internationale pour la mémoire de l’Holocauste (IHRA), La position d'Antoine Spire ne représente pas celle de la Ligue des Droits de l'Homme qui est à l'origine d'appels vivement hostiles à la politique de l'État d'Israël comme « Trop, c'est trop », lancé par. Antisionisme : hostilité envers l'État d'Israël. Le terme peut caractériser des prises de positions aussi éloignées que la simple critique de la politique du gouvernement israélien, ou que l'exigence de son anéantissement. Définition de l’antisémitisme : adoption dans la douleur d’un texte à l’Assemblée nationale. » Avraham Tal s'inquiète des conséquences démographiques de telles revendications, estimant qu'elles mènent à la renonciation à un foyer national juif. Celui-ci prévoit un État unitaire judéo-arabe et dont de fait à majorité arabe, en 1949. Ce qui m'amène à la résolution lamentable adoptée par l'Assemblée générale en 1975, assimilant le sionisme au racisme et à la discrimination raciale », « Le glissement de la critique de la colonisation après 1967 ou du messianisme religieux vers la délégitimation d’Israël s’est opéré si pernicieusement qu’il a tout emporté. Les manifestations orales, écrites ou physiques de l'antisémitisme visent des Juifs et des non-Juifs et leurs biens, les institutions et établissements religieux juifs », « recycler les pires thèmes de l’extrême-droite », « rappellent celles des conspirationnistes et des antisémites de toujours », « réunir sur une même liste le maximum de personnes condamnées pour incitation à la haine raciale », « l'argent n'est pas venu d'Iran, mais de la communauté, Some European countries insist on saying that during World War, (disparition qu'il compare, par la suite, à l'écroulement de l', « Nous devons profiter de l'occasion pour dénoncer l'antisémitisme dans toutes ses manifestations. » Il considère qu'il y a « une confusion malsaine entre sionisme et hostilité à la reconnaissance des droits du peuple palestinien » soulignant qu'ils ne sont pas incompatibles, et qu'« au final ceux qui sont favorables à la solution des deux États ne peuvent pas être antisionistes. Ce débat suscite la controverse aux États-Unis. Aujourd'hui, l'antisionisme en Israël est représenté par un courant juif ultra-orthodoxe minoritaire dit haredim, un courant laïque d’extrême gauche et un courant politique d'arabes israéliens. En 1941, il se réfugie en Allemagne nazie et demande à Hitler de lui apporter son soutien contre la création d'un Foyer national juif. Puisque cette discrimination est faite au titre de la religion, juive, du peuple concerné, il s'agit, par définition même, d'anti-sémitisme. Il existe en effet aux États-Unis un courant juif antisioniste[47] très minoritaire[48], représenté d'une part par des organisations juives ultra-orthodoxes qui contestent le sionisme « au nom des valeurs fondamentales du judaïsme »[49] et d'autre part des mouvements juifs progressistes opposés à la colonisation de la Palestine. La Ligue arabe s'est déclarée prête à reconnaître Israël en échange du retrait d'Israël de tous les territoires occupés en 1967 et en échange de la création d'un État palestinien viable et dont Jérusalem-Est serait la capitale[104],[105],[106]. )[157] et par exemple, il pense que la comparaison entre le sionisme et Hitler relève incontestablement de l'antisémitisme ; les antisionistes usent de cette comparaison car le nazisme est devenu le type même du mal absolu, la métaphore du diable dit-il[158] : L'assimilation entre antisionisme et antisémitisme se rencontre occasionnellement dans des documents de conviction chrétienne. En 1917, la Déclaration Balfour prévoit l'établissement d'un « foyer national pour le peuple juif » ; en réaction, le nationalisme palestinien émerge vers 1920 sous l'impulsion du Grand Mufti de Jérusalem, Amin al-Husseini, qui mêle antisionisme et antisémitisme, dont il devient le principal chef avec Izz al-Din al-Qassam. L'antisionisme palestinien apparaît dès la fin du XIXe siècle en Palestine, avec le développement de l'immigration juive. Le propagandiste russe Nilus lance « la version antisioniste et non seulement antijuive des Protocoles du complot juif au complot sioniste »[101], accusant explicitement les Juifs de fomenter un « complot juif mondial » mais également un « complot sioniste mondial »[102],[101]. Y compris des intellectuels juifs gouvernés par le désir de plaire et d’être aimés. Ils estiment également que « l'État d'Israël est une cause d'injustices envers les Palestiniens, ce qui est contraire à l'enseignement de la Torah ». Il mènera notamment à l'adoption du Livre Blanc de 1939. D'autres sources[107] indiquent que l'Iran entreprend un rapprochement avec Israël, qui inclurait une reconnaissance officielle présentée aux États-Unis. Il tire de cette étude les conclusions suivantes : « Parfois la critique d'Israël est antisémite », de même que parfois la critique d'Hillary Clinton est misogyne, et parfois la critique du Zimbabwe est raciste. Le journaliste controversé Dominique Vidal[173], évoque assez largement les affaires qui ont opposé la LICRA (représentée par Me Goldnadel) à Daniel Mermet, à Témoignage chrétien, ou à un candidat de la LCR de Chambéry[174]. Les déclarations de jihad contre les Juifs se sont nourries de l’islamisation de la cause palestinienne, processus qui n’a cessé de s’accélérer depuis la fin des années 1980... Mais l’appel au jihad a lui-même été idéologisé dans le cadre d’une vision apocalyptique de la guerre contre le « sionisme mondial » – entité mythique traitée comme l’incarnation même de la causalité diabolique –, pour prendre le sens d’un appel à l’extermination physique des Juifs, désignés comme tels ou comme « sionistes » »[69]. Des rapports attestent cependant qu'Israël continue de fournir une assistance militaire à l'Iran pendant son conflit avec l'Irak, pour un montant estimé à 2,5 milliards de dollars. « Chapitre V. De la jihadisation de la judéophobie à l’accusation d’infanticide », dans : TRIBUNE : L’antisionisme est une opinion, pas un crime, « Dieudonné rejeté par le mouvement de solidarité avec la Palestine », « Les amis très particuliers du centre Zahra », « Congrès de l'UOIF : Dieudonné et Soral en vedettes américaines », « La géopolitique pour les nuls II - Session de rattrapage », http://www.haaretzdaily.com/hasen/spages/675205.html, http://www.lapaixmaintenant.org/La-Ligue-arabe-le-Hamas-devra, http://www.lapaixmaintenant.org/article1503, Asia Times Online :: Middle East News, Iraq, Iran current affairs, http://www.ism-france.org/news/article.php?id=7558&type=analyse, http://unispal.un.org/unispal.nsf/52b7d0e66142a40e85256dc70072b982/b0f4c3f48dba5aa3052565d40050a9a7?OpenDocument, Nouveau rapport de 130 pages : les enseignants UNRWA incitent au terrorisme et à l’antisémitisme, http://www.cairn.info/revue-internationale-et-strategique-2005-2-page-57.htm#no12, http://aaargh-international.org/fran/livres/pranitis.pdf, http://www.antisemitism.org.il/eng/Ahmed%20Rami, « Les Amis de Faurisson.
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